L’arbitrage du dernier match entre l’Olympique de Marseille et le Stade Rennais au Roazhon Park a suscité la polémique, au point de perpétuer la croyance qu’il existe un complot anti-OM. Le dernier rapport du Service de l’Arbitrage va cependant rassurer les supporters.
La rencontre entre le Stade Rennais et l’Olympique de Marseille pour la 17e journée de Ligue 1 a fait couler beaucoup d’encre. Malheureusement, ce n’est pas tant pour la qualité du match que les journalistes ont sorti leurs stylos et les consultants leurs micros, mais plutôt pour le niveau de l’arbitrage. L’homme au sifflet annoncé pour le match a été à l’origine de plusieurs décisions qui ont surpris les supporters des deux équipes ainsi que les observateurs de la rencontre. Des choix arbitraux qui ont eu un impact majeur sur le jeu puisqu’on parle de deux situations litigieuses différentes. L’un a vu Rennes obtenir un penalty – stoppé immédiatement par Rulli -, l’autre a empêché l’OM d’obtenir un penalty après analyse de la vidéo. Quelques jours après le coup de sifflet final de la victoire marseillaise, le service de l’arbitrage a donné raison aux Olympiens.
La FFF invalide un autre arbitre
Dans son avant-dernier rapport hebdomadaire, le service de l’arbitrage de la Fédération française de Football a décidé d’invalider la décision de François Letexier de ne pas exclure Wilfrid Singo alors que celui-ci avait essuyé ses crampons sur Gianluigi Donnarumma. Cette fois, c’est au tour d’Abdelatif Kherradji d’être reconnu coupable d’une erreur de sa hiérarchie. Dans son dernier rapport, le service de l’arbitrage de la FFF a confirmé que la main d’Amir Murillo n’aurait pas dû être sifflée.
« Le contact entre la main et le ballon se produit alors que le bras du défenseur redescend naturellement après le duel aérien, sans que le défenseur ne prenne de risque. Conformément aux Lois du Jeu, la position du bras au moment du contact peut donc être considérée comme une conséquence du mouvement du corps du défenseur dans cette situation précise. Le visionnement au bord du terrain et le penalty n’étaient donc pas attendus “, a expliqué le DA. Cette déclaration n’a de toute façon pas d’impact immédiat sur le match, si ce n’est qu’elle peut rassurer les supporters sur le fait qu’ils ont eu raison de crier au scandale.
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