Zapping Foot National Laure Boulleau: “I imagine a sequence where Mbappé talks about a Les Bleues match…”
Son analyse était attendue. Comme chaque jour après une journée de Ligue 1, le service arbitrage de la Fédération française de football (FFF) est revenu sur les situations polémiques du seizième épisode, dont la violente attaque du Monégasque Wilfried Singo sur le gardien parisien Gianluigi Donnarumma lors du match avancé de 18 décembre à Louis-II (voir ci-dessous).
« Une grosse erreur »
Pour le service de l’arbitrage, « cette situation est très difficile à juger, entre imprudence, manque d’intentionnalité, manque de considération et mise en danger de l’intégrité physique du gardien. A l’analyse des images, « l’attaquant joue certes le ballon, mais son action met en danger l’intégrité physique du gardien, compte tenu de la semelle impactant directement le visage de ce dernier », constate-t-elle. De ce point de vue, « cette situation constitue donc une erreur grossière au sens de la loi 12 », estime-t-elle encore. Selon elle, l’arbitre du match François Letexier aurait dû recourir à l’assistance vidéo “pour modifier la décision initiale et exclure le joueur fautif”. Averti quelques minutes plus tôt dans le match, Wilfried Singo était effectivement passé entre les mailles du filet sur cette action et a donc pu terminer la rencontre. Contrairement à Gianluigi Donnarumma, victime d’un traumatisme facial et remplacé par sa doublure Matvey Safonov.
Pour résumer
Son analyse était attendue. Comme chaque jour après une journée de Ligue 1, le service arbitrage de la Fédération française de football (FFF) est revenu sur les situations polémiques du seizième épisode, dont la violente attaque du Monégasque Wilfried Singo sur le gardien parisien Gianluigi Donnarumma lors du match avancé de 18 décembre à Louis-II.