Montpellier continue de sombrer. Dernier de Ligue 1, le MHSC vient de subir un énième affront avec une humiliation lors du 32e tour de Coupe de France (4-0) face aux amateurs du Puy (N 2).
Malgré un onze de départ très sérieux aligné par Jean-Louis Gasset, en quête de confiance (7 défaites sur les 10 derniers matches), la lanterne rouge de L 1 a cédé une première fois avant la mi-- sur un but de Zogba (1 -0, 43ème).
Quasiment dominées dans le jeu par leurs adversaires du soir, les Montpelliérains ont sombré dans le dernier quart d’heure de jeu, encaissant trois buts et une jolie petite gifle. Le MHSC est la deuxième équipe de Ligue 1 après Le Havre à quitter la compétition. Quart de finaliste la saison dernière, Le Puy continue sa belle histoire avec la Coupe de France.
L’autre surprise des matches de 18 heures est venue d’Epinal avec la qualification de Thaon (N 3) attaquant d’Amiens, pensionnaire de Ligue 2. Les Vosges, bien que menés au score dès la 20e minute de jeu, ont renversé la rencontre dès la seconde. période, en convertissant leurs deux seules occasions contre Petitpain (1-1, 47e) puis Lecoanet (2-1, 84e), pour signer une troisième qualification en 16es de finale sur le dernier quatre éditions.
Côté Ligue 1, Nice a échappé au cauchemar du côté de Furiani face aux supporters de Corte (N 3). Après un penalty manqué par Diop (4e), et un premier score concédé sur coup franc à la 11e minute, les Niçois se sont retrouvés à 10 contre 11 après l’expulsion logique de la jeune Yaël Nandjou, 20 ans, pour un violent tacle à la cheville de le défenseur adverse Raphaël Menozzi, absent sur blessure.
Mené et en infériorité numérique, le sixième de Ligue 1 a rattrapé son retard grâce à un double contre favorable de Ndombele (1-1, 60e), avant de valider son ticket aux tirs au but (1-1, 5-3 tab).
Sortie également évitée par l’Olympique Lyonnais. Visiblement dominants face aux amateurs de Feignies-Aulnoye (N 2), les Gones ont attendu un splendide coup franc de Benhrama avant la mi-- pour débloquer un succès conclu par Mikautadze en fin de match (1-2). De son côté, le FC Nantes n’a jamais tremblé (0-4) face à Drancy (N 3).
