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Malgré un double cursus espagnol/communication, j’ai décidé de reprendre mes rêves en main en me tournant vers le journalisme. Titulaire d’un master en journalisme sportif, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec autant d’admiration pour les périodes de transferts, lorsqu’un club doit faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.
Le PSG et Luis Enrique peuvent compter sur le retour de Gonçalo Ramos. Blessé à la cheville, l’attaquant portugais est de retour sur le terrain, et contrairement à Randal Kolo Muani, semble bénéficier de la confiance de l’Espagnol. Selon Alain Roche, le numéro 9 parisien permet au coach de bénéficier d’un profil unique au sein de son effectif.
Blessé lors du premier match de la saison contre Le Havre, Gonçalo Ramos est de retour dans les rangs de PSG. L’attaquant portugais a même été tenu pour responsable par Luis Enrique qui l’a titularisé samedi dernier contre Nantes (1-1). Après la rencontre, l’entraîneur espagnol a pourtant lâché cette phrase énigmatique à propos du numéro 9 : « Tu m’as toujours parlé du mauvais numéro 9, et cette fois, c’était un neuf. Et qu’est-ce qui a changé ? ».
« Luis Enrique préfère fouiller la presse plutôt que de promouvoir »
“Pour être honnête, j’ai trouvé cela inacceptable” a estimé l’ancien PSG (1992-1998) Alain Roche près l’équipe. « Ramos n’avait pas joué depuis trois mois, il a logiquement besoin de retrouver du rythme et de la confiance, et Luis Enrique préfère s’adresser à la presse plutôt que de promouvoir et soutenir publiquement son joueur. Parfois, il soutient ses joueurs, comme contre le Bayern (0-1, le 26 novembre) lorsqu’il se dit content de ce qu’il a vu. Mais là, dans la gestion de la confiance d’un joueur, non, vraiment, je ne comprends pas. »
“C’est quelque chose de nouveau dans le jeu parisien”
Verser Alain Roche, Ramos doit être titulaire de PSGqui offre un profil différent à Luis Enrique : « De toute façon, ça ne coûte rien d’essayer. Ramos était encore présent lors de l’action du but contre Nantes (marqué par Hakimi), même si sa déviation était sans doute involontaire. On l’a aussi vu de la tête deux centres, et c’est une nouveauté dans le jeu parisien. C’est une équipe qui bouge beaucoup, qui bouge toujours, mais qui centre peu (6ème du classement général de Ligue 1). Avec Ramos, au moins, il y a un joueur dans la surface qui peut occuper les deux défenseurs centraux adverses.conclut l’ancien international français.