Balayé par le Stade Rennais samedi (5-0), Saint-Etienne est irrégulier depuis le début de la saison. Et pour L’Equipe, l’entraîneur Olivier Dall’Oglio n’est pas le premier responsable des résultats mouvementés de l’ASSE.
Vainqueur de Montpellier la semaine dernière, Saint-Etienne n’a pas réussi à enchaîner une deuxième victoire d’affilée face à Rennes ce samedi. Balayée par le club breton, l’ASSE ne parvient pas à faire preuve de régularité, un problème qui dure depuis le début de la saison. Olivier Dall’Oglio est régulièrement contesté dans le Forez en raison du classement de l’équipe qui pointe à la 15ème place après ce revers en Bretagne. Dans l’édition d’aujourd’hui, L’équipe a évoqué les résultats du club, qui font le yoyo depuis plusieurs semaines. Mais aux yeux du journaliste Bernard Lions, qui suit les Verts pour le quotidien national, Olivier Dall’Oglio n’est pas le premier responsable de cette situation.
L’ancien entraîneur de Brest et de Montpellier fait ce qu’il peut avec un effectif trop limité pour la Ligue 1 selon le chroniqueur de la Chaîne L’Equipe, qui a rappelé le mercato estival réalisé par Kilmer Sport. » Hormis Zuriko Davitashvili (23 ans), en France depuis deux ans, et Pierre-Emmanuel Ekwah (22 ans), le recrutement estival à 23 ME – un record dans l’histoire de l’ASSE – n’a guère apporté de valeur ajoutée à l’équipe. . Il était déjà loin de survoler la Ligue 2 la saison dernière. Elle manque de puissance et d’expérience cette saison. » note Bernard Lions dans L’Equipe.
Dall’Oglio voudrait des renforts cet hiver
Pour le journaliste, il est crucial de renforcer l’équipe dont dispose Olivier Dall’Oglio lors du mercato hivernal. Car l’entraîneur français aura du mal à faire des miracles avec cet effectif même si aux yeux des patrons du club stéphanois, ce mercato réalisé l’été dernier devrait permettre aux Verts de maintenir leur position sans trembler. La question est désormais de savoir si Kilmer Sport acceptera l’idée de revenir dans la marmite en janvier avec une ou deux recrues supplémentaires, ce qui n’est pas forcément la tendance ces --ci.
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