La guerre entre le PSG et la mairie de Paris via Anne Hidalgo n’est pas prête de s’arrêter malgré le fait que la maire de Paris ne se représentera pas en 2026. Une décision qui aurait pu conduire à de nouvelles négociations pour le rachat du Parc des Princes. . Mais il n’en est rien et Nasser El Khelaifi l’a fait savoir clairement révèle Le Parisien : l’avenir du PSG s’écrira loin du Parc des Princes et en dehors de la capitale. Une décision radicale mais pas inattendue tant la pression des dirigeants était forte pour avoir le dernier mot et lancer enfin son grand projet : un stade pour 80 000, 90 000 comme les autres grands clubs d’Europe. Il ne s’agit donc plus d’un bluff mais d’une décision ferme et définitive même si Nasser aurait souhaité une autre issue. « J’aime beaucoup le Parc, tout le monde l’aime. Si j’écoute mon cœur, nous ne partirons pas. » Mais le Parc ne semble pas à la hauteur de ses ambitions.
Un projet ultra moderne pour le nouveau stade
Pour ce projet, le président du club peut compter sur le soutien de plusieurs partenaires locaux dont Valérie Pécresse, présidente de la région Ile de France, qui a voté le 11 septembre une motion de mise à disposition de 50 hectares. Les architectes du cabinet américain Populos ont déjà envisagé une enceinte modulable d’une capacité allant de 50 000 à 90 000 places, qui pourra accueillir les matchs du PSG mais aussi d’autres événements sportifs et concerts. Le PSG veut se projeter sur 50 ans et le coût de l’opération s’élèverait à plus d’un milliard d’euros. Capacité que le Parc des Princes n’aurait pas pu offrir, étant devenu trop vieux et n’aurait pu dépasser les 60 000 places en raison de sa situation géographique.
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Pour résumer
Le PSG n’abandonne pas son projet de construire son nouveau stade à moins d’acheter le Parc des Princes. Malgré le départ d’Anne Hidalgo en 2026, les dirigeants parisiens ont pris une décision radicale et sont déterminés à lancer la construction de leur stade en dehors de Paris.
