Derrière le probable départ d’Amine Harit se cacherait l’arrivée d’un international algérien. Désireux de continuer à remanier l’effectif pour en faire un groupe de qualité, toujours dans l’objectif de disputer la Ligue des champions la saison prochaine, l’Olympique de Marseille se serait penché sur la situation d’Himad Abdelli, indique DZ Foot. Le milieu de terrain du SCO Angers suscite largement les convoitises grâce à un début de saison de qualité.
Alors qu’il affiche une moyenne Flashscore de 7,12/10 sur 11 matchs de Ligue 1 disputés, Himad Abdelli a tout simplement débuté tous les matchs de championnat cette saison. Il n’y a que deux occasions où l’international algérien n’a pas terminé le match et n’a joué que 80 et 84 minutes (contre Reims puis Saint-Etienne). Passeur décisif face au Paris Saint-Germain sur le premier but angevin de la rencontre d’Estéban Lepaul, il fait désormais beaucoup parler de lui à Marseille.
Himad Abdelli, d’Angers à Marseille ?
Né en Normandie, Himad Abdelli n’avait connu que le club havrais avant de rejoindre Angers. Depuis le début de l’exercice en cours, il vit sa première saison dans l’élite du football français. Et ce dernier ne cache pas son jeu.
Auteur de performances plus qu’intéressantes, il ferait saliver Mehdi Benatia, le directeur sportif de l’Olympique de Marseille. Le dirigeant marocain apprécierait particulièrement sa polyvalence, lui qui est doté d’une technique particulièrement créative. De quoi faire plaisir aux supporters de l’OM ?
DZ Foot affirme toutefois que rien n’est joué. Aucune mesure officielle n’a encore été prise par le club. En cause, son arrivée dépendrait avant tout de l’avenir d’Amine Harit. L’international marocain, qui pourrait quitter le club cet hiver, ouvrirait la porte à Himad Abdelli.
Actuellement valorisée à 4 millions d’euros selon le site spécialisé Transfermarkt, sa valeur ne fait que croître. Il faudra donc mettre la main à la poche pour se le permettre, mais c’est un état de fait qui ne devrait pas trop inquiéter Pablo Longoria.
Supporteur malheureux – et c’est peu dire – des Girondins de Bordeaux, je trompe mon désespoir en suivant d’autres pans du football mondial.