Thomas Siniecki, Media365 : publié le jeudi 31 octobre 2024 à 21h45
Une nouvelle contre-performance ce week-end pourrait coûter cher à Olivier Dall’Oglio. C’est la loi du football et encore plus à l’ASSE.
Olivier Dall’Oglio “n’est pas allé vérifier” les rumeurs concernant son potentiel licenciement de l’AS Saint-Etienne, qui recevra Strasbourg dans une ambiance chaude samedi soir à Geoffroy-Guichard, alors que les Verts viennent de perdre 4-2 à Angers. et retombe à la seizième place, celle du futur barrage de fin de saison. « On voit ça régulièrement, que veux-tu que je te dise ? Beaucoup de bêtises sont dites, écrites et répétées. Cela fait partie du jeu, ce n’est pas le domaine le plus flamboyant de notre football, c’est clair “On m’a donné un défi et une mission, ce n’est pas le plus simple au monde, comme la saison dernière, et c’est peut-être encore plus complexe cette saison.” .»
“On le sait, les coachs sont là et parfois, ils ne sont plus là le lendemain”
L’entraîneur, qui a lui-même remplacé Laurent Batlles lors de la saison dernière pour guider les Verts vers la montée en Ligue 1, assure qu’il se sent dans sa mission, travaille au quotidien et donne tout pour ce club, profitant au maximum de sa chance d’être : « Mon Le message est simple, j’avance et ce n’est pas ce genre de chose qui doit me faire reculer. Après, on le sait, les coachs sont là et parfois, ils ne sont plus là demain, mais tant que je serai là, je serai déterminé et ferme. Bon dans ses bottes et ses convictions, Dall’Oglio certifie qu’il n’est en rien concerné par cette situation finalement banale pour un technicien en difficulté, même si la pression est forcément plus forte à Saint-Etienne.
Même son de cloche chez les joueurs, dont Dennis Appiah était le représentant envoyé à la presse : « On connaît le football, on sait comment ça se passe… Quoi qu’il arrive, j’essaie toujours d’avoir la même relation avec mon entraîneur. Nous travaillons ensemble et nous voulons traverser cette épreuve ensemble, moi avec lui. Le latéral droit rappelle néanmoins, enfin, que ce n’est pas lui qui prend les décisions et qu’il a déjà suffisamment de choses à régler.
