“C’était brutal”, il vide son sac après son départ

“C’était brutal”, il vide son sac après son départ
“C’était brutal”, il vide son sac après son départ

Titulaire d’un Master en droit international, j’ai réalisé à la fin de mon parcours universitaire qu’il était important d’évoluer dans un domaine que l’on apprécie. Du jour au lendemain, j’ai décidé de mettre un terme au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, de vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l’actualité sportive, en essayant de tenir les lecteurs informés au mieux.

Après avoir frôlé la mort, Sergio Rico a pu retrouver les terrains après une longue période de rééducation et d’incertitude autour de la suite de sa carrière. Aujourd’hui à Al-Gharafa au Qatar, le gardien espagnol a été titularisé, 493 jours après son grave accident d’équitation. Le gardien est revenu sur cette épreuve et sa motivation qui ne l’a jamais quitté.

Sergio Rico est redevenu footballeur. Plus d’un an après son grave accident d’équitation, le portier espagnol est de retour sur les terrains. Aujourd’hui sous contrat avec Al-Gharafa, il a été titularisé mardi dernier lors du match contre Al-Aïn (4-2). Une renaissance pour l’ancien gardien du PSG, qui a frôlé la mort. Au micro de La chaîne de l’êtreSergio Rico a accepté de revenir sur cette période compliquée.

Sergio Rico ouvre son cœur

« Je n’aurais jamais pensé que je ne pourrais plus jouer. J’ai toujours pensé que je pouvais revenir, que je pouvais continuer à être gardien de but et que mon heure n’était pas venue. J’ai commencé un plan d’entraînement seul, avec un entraîneur personnel. C’était un travail très mesuré après le mois et demi que j’ai passé à Paris la saison dernière et qui a été déterminant pour mon retour. ” dit Sergio Rico aux médias espagnols.

“C’était une expérience assez brutale”

Son retour sur les terrains de football marque le début d’une deuxième carrière pour Sergio Rico. « C’était une expérience assez brutale, comme si je faisais mes débuts. Je suis très heureux que nous ayons pu gagner. C’était une sensation spectaculaire, mes cheveux se dressant alors que je sentais à nouveau l’herbe mouillée. Les nerfs de la compétition me manquaient vraiment. Je me sentais bien et j’ai dit à ma femme que même si tout s’était bien passé, je n’étais pas complètement heureux jusqu’à ce que je me retrouve dans le but, et maintenant je le suis. » lâche-t-il.

 
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