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Buts de Pulisic, Dimarco et Gabbia. Fonseca sauve le banc

Entre la Pennsylvanie et Busto Arsizio, il y a un océan, la Méditerranée, plusieurs zones isolées et deux manières d’être aussi distantes que les deux pôles du monde, mais le derby a relié les points et éliminé la distance. Quand si ça gagne, tout le monde est égal et souriant. Milan a remporté la victoire grâce au succès de son fils grâce à Christian Pulisic et Matteo Gabbia, qui ont su s’infiltrer dans l’équipe italienne et célébrer la défaite : 2-1 face à l’équipe d’Inzaghi, tout comme la précédente. . Fonseca se la ride et rebrea : il a rejoint ses cousins ​​au classement. Ce sera la plage par excellence, j’ai l’impression qu’elle continue de longer le rivage pendant un moment. En fin de compte, c’est là que c’est parti. Il a surpris l’Inter avec une approche agressive en réduisant le passé, ces buts dans les 21 premières minutes qui avaient miné Pioli à plusieurs reprises.

garniture

Le onze hyper offensif de Fonseca prend du temps après quelques minutes. Le tandem Abraham-Morata n’est pas encore la pointe de diamant d’un 4-2-4 avec une large marge, Fofana au milieu en barrage et un Reijnders double face, un peu réalisateur et un peu incurseur. Une des clés du match. L’Inter, renversant l’atout de l’adversaire, a lancé la première attaque avec une passe d’une minute : un double dribble du Néerlandais à la 4′, une attaque soudaine de Theo en seconde période et une gauche de Morata déviée en corner par Sommer. (6′). Tout tourne autour de l’Inzaghi, cela devrait être fait toutes les minutes, si c’est à la frontière au coin de la rue, c’est dans la bonne direction. Le premier quart d’or n’est pas une vie facile. Fonseca construit deux cages latérales le long des couloirs de l’Inter pour limiter les sources de jeu. Theo, Leao et Reijnders ont subi des dégâts. Emerson, Pulisic et Fofana plus tard. Barella et Mkhitaryan, en effet, sont obligés de se baisser, laissant à Lautaro la tâche de démarrer l’action avec les premières touches et les intervenants.

j’ai deux objectifs

Je dois le son du tempo précoce au spectre de philosophies diverses. Le parcours de golf de Milan, arrivé à 10′, était un hommage aux gestes techniques du chanteur, et il apparaissait comme le nerazzurro et le trionfo de la collection. Je sonne les frontmen Christian Pulisic et Federico Dimarco. Tout d’abord, c’est sûr pour le pied de Mkhitaryan, s’il vole dans le test de basse au milieu d’Acerbi et Pavard puis il passe à Sommer avec un bouton de easy easy destro. Pulisic signe le troisième but en championnat et il en résulte à sa manière, comme se veut dire « visto, sì ? ». La première robe derby milanaise est une propriété de statut qui n’appartient pas à un chiffon de Pennsylvanie. Un retour à la sécurité à l’origine où pensait Dimarco, et le second est entré dans un derby après quoi en Supercoppa. Il est d’abord allé à San Siro. A la 27′, passe décisive de Lautaro et Maignan le frappe d’un rasoterra sinistre (Male Emerson, c’est la marque et le libéro est libéré). Un départ avec Sommer, continuation avec Dumfries et Barella puis finalisation avec le ragazzo de Porta Romana. Après le passage, une ouverture de fascia a fascia et un stylet tout angolino.

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cage décisive

L’équipe a mis du temps à profiter du spectacle, mais la construction est restée miraculeuse. L’Inter s’appuie sur le pied gauche de Dimarco pour créer le jeu et, en effet, à la 50e minute, il a failli marquer avec quatre premières passes (la glissade de Gabbia a été décisive). Milan, en revanche, est une attaque continue en contre-attaque. Les Rossoneri faisaient mieux : à la 66e minute, Leao entrait dans la surface et plaçait le safety à Reijnders, qui engageait Sommer à la limite. Une minute de travail réalisée par Mariani pour assembler une rigueur à Milan, mais il y met un plat : la touche de Lautaro est avec l’épaule. Le dernier quart d’or de l’Inter le joue avec un milieu de terrain 2.0 – Zielinski, Asllani, Frattesi -, mais au milieu il n’y a pas de filtre et les Nerazzurri s’effondrent. La chance est plus grande que les pieds du capitaine Leao et d’Abraham. Le premier coup de pied ajouté à Sommer, le second au fil du poteau. Milan s’avance encore et encore, relève la tête et exploite les flancs. L’Inter souffre physiquement et recule de plus en plus. La scène s’est révélée : en ’89’, sur une punition des prisonniers, Gabbia surgit de toute l’improvisation au-dessus de Frattesi et marque le but de la libération. Il est destiné à être le premier derby « made in USA » de l’histoire de Milan où l’on décide de créer un garçon né et de créer chez soi à Milan. A la fin du match l’équipe chante sous le sud. Personne ne hue, personne ne proteste. Fonseca prêchait la sérénité. Il l’a eu et l’a mérité.

 
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