Maxime Mermoz vise la Coupe du monde de avec le Cameroun

Maxime Mermoz vise la Coupe du monde de avec le Cameroun
Maxime Mermoz vise la Coupe du monde de rugby avec le Cameroun

Lorsque l’amitié naît, les associations se nouent plus rapidement. Entre Olivier Missoup et Maxime Mermoz, c’était presque naturel. Le premier a pris la tête de la sélection camerounaise début octobre, et le second, l’homme aux 35 sélections avec le XV de , l’a rejoint. « C’est lui qui m’a contacté. Son choix semble cohérent et logique, depuis le temps où nous discutions ensembleraconte l’ancien centre trois-quarts international. On s’est croisé très souvent sur le terrain, je suis très ami avec son petit frère, et Olivier est venu plusieurs fois chez nous, à Toulon, pour vivre d’autres moments que le . »

Loin de discuter autour d’un café dans le Var, ils vont désormais se retrouver autour du parc. Et le premier est déjà connu, celui de Casablanca, Maroc. La sélection camerounaise y disputera son premier match de Coupe d’Afrique, le 18. novembre. C’est à cette date que le Vosgien, adopté par Toulon même avec son accent chantant, arrivera officiellement dans le staff Missoup.

Il découvrira Guillaume Leleu, entraîneur des avants, Johann Pinot, en charge des coups de pied et de la technique individuelle, ainsi que Quentin Sone Ehawa, préparateur physique. « Je ne les connais pas du tout. Nous nous retrouverons à ce moment-là. » Ensuite ce sera aussi la découverte du groupe camerounais, et de ses joueurs qui le composent. « Dès ce premier jour, il faut commencer à avancer dans le début d’un projet, passer de la théorie à la pratique… Mais il y aura surtout beaucoup d’observation pour savoir ce qu’on peut mettre en place. » L’ancien joueur de Top 14 pourra faire l’inventaire qu’il souhaite, le reste dépendra des souhaits d’Olivier Missoup et “la direction au dessus de nous”.

Ntamack, Ambadiang… dans le viseur de la sélection

Déjà, Maxime Mermoz veut changer les racines du rugby camerounais, promouvoir des verticales pour développer la discipline dans le pays. « Si on arrive à faire monter un joueur de 16 ans, ce serait déjà une victoireadmet quiconque souhaite travailler avec les plus jeunes. Si les enfants ne connaissent pas le rugby, ça va être difficile…

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