Un événement traumatisant pour de nombreux passionnés d’histoire. Le 15 avril 2019, Notre-Dame de Paris était ravagée par les flammes d’un incendie hors du commun, réduisant en cendres certains des éléments les plus emblématiques de l’édifice décrit par Victor Hugo dans son célèbre roman du même nom. Depuis reconstruite à l’identique, la cathédrale a rouvert ses portes en décembre 2024, révélant au terme d’un chantier de cinq ans les importants travaux menés pour lui redonner son éclat d’antan. Cependant, un détail a changé : ses vitraux. Classés monuments historiques, ils ont été remplacés à la demande d’Emmanuel Macron par six vitraux contemporains. Une modification qui ne passe pas pour Stéphane Bern, qui a annoncé mercredi 16 janvier dans C à Vous qu’il ne laisserait pas tomber l’affaire.
N’y voyez rien de sentimental : si Notre-Dame de Paris est comme « une amie que l’on retrouve », l’affirme l’animateur, il n’est pas question de raviver « la querelle entre les anciens et les modernes » mais de « appliquer la loi ». En effet, classés monuments historiques, les vitraux ne peuvent normalement pas être modifiés. Leur remplacement constitue donc une aberration aux yeux de la loi. La compagne de Yori Bailleres l’a expliqué mercredi soir : “Si je fais la même chose chez moi, si j’enlève quelque chose qui ne me plaît pas, qui est classé monument historique, pour mettre quelque chose qui me plaît plus, tout de suite, J’ai une amende. Par sa décision de modifier les vitraux du (…)
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