Théo Sulpice est un artiste qui a plusieurs cordes à son arc. Il vient d’écrire un livre sur sa vie riche en expériences, de ses Marquises natales à Paris en passant par Tahiti et bien d’autres endroits.
Vous connaissiez Théo Sulpice le danseur et chanteur qui promeut la culture polynésienne à travers le monde, désormais vous connaîtrez Théo l’écrivain ! En effet, l’artiste marquisien qui vit la plupart du - dans la capitale française vient de sortir un livre autobiographique.
Le titre : « Un Marquisien à Paris, abandonnant tout pour vivre son rêve », résume bien le parcours de cet artiste. Il a abandonné ses études très tôt. Pour gagner sa vie. « A quatorze ans, j’en avais marre de rester à l’école… En 1978, je travaillais à la boulangerie Taiohae »il écrit. Et c’est à l’âge de 16 ans qu’il part à Tahiti, travaillant dans le même secteur, cette fois à la boulangerie Léaa de Arue. « Ces années à la boulangerie ont été formatrices… elles m’ont appris des compétences précieuses comme la patience, la précision et le sens des responsabilités. »
A 18 ans, il abandonne les baguettes croustillantes pour d’autres, celles qui rythmaient le la vie et emmener les gens sur les sentiers. Major, Théo apprend ainsi à danser avec les meilleurs comme « le charismatique Coco Hotahota…une légende vivante…sous sa direction j’ai découvert la complexité et la beauté de la danse tahitienne ».
Son amour pour Ori Tahiti l’amène à se produire en Amérique puis à découvrir Paris en 1981. « Le contraste avec Tahiti était saisissant » en raison du climat et du rythme effréné de la ville. En 1985, Théo crée son groupe, Show Tahiti Nui.
Depuis, le Marquisien se produit dans des spectacles ainsi que dans des émissions télévisées, contribuant à accroître sa notoriété tant en France que dans le monde. De fil en aiguille, de danseur il devient chanteur et enregistre plusieurs albums.
Un artiste qui n’avait besoin d’accomplir qu’une seule chose : écrire.
Son livre autobiographique est donc l’autre corde de son arc.
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