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Jean-Paul Gaultier raconte sa rencontre à Mykonos avec son compagnon de longue date, qui a fait le premier pas ?

Jean-Paul Gaultier, icône absolue de la mode, ne parle pas souvent de sa vie amoureuse. Mais pour Paris-Matchil est revenu sur son histoire avec Francis Menuge, un homme malheureusement décédé du sida en 1990.Coup de foudre. Mon ami, mon conseiller, mon amant.“Ce sont ces mots qu’il a utilisés pour décrire son défunt ex-partenaire.”Nous avons construit ensemble la maison Jean Paul Gaultier. Il étudiait le droit, était brillant, créatif, doté d’un esprit de synthèse. Ce que je n’ai pas du tout. Il m’a donné la force de faire quelque chose seul. Je n’avais pas du tout cette ambition. Il croyait en moi.“

Aujourd’hui, Jean-Paul Gaultier est en couple avec un homme dont il garde secrète l’identité. Mais à l’occasion du 25ème anniversaire du magazine Nombreil en dit un peu plus. Il explique d’abord qu’il est amoureux.depuis déjà quelques années« . Et la flamme semble bel et bien entretenue : «Eh bien, ça arrive… Assez bien oui !«Mais ce que nos confrères cherchaient aussi à savoir, c’était comment ils s’étaient rencontrés.

Jean-Paul Gaultier, sa rencontre avec sa compagne

C’était dans un bar de Mykonos. Il est grec», a révélé Jean-Paul Gaultier, avant d’indiquer si c’est lui ou son amoureuse qui a fait le premier pas : Pour une fois, c’était moi ! Je l’ai repéré tout de suite et je suis allé lui parler, même si d’habitude je suis assez timide.Êtes-vous indien ?», a demandé le styliste, que l’on surnomme l’enfant terrible de la mode.

Pour revenir sur son histoire avec Francis Menuge, et son entretien pour Paris-Match, Jean-Paul Gaultier est revenu sur cette époque pour le magazine, au moment du décès de sa compagne dans les années 1990, alors que le sida faisait son apparition dans notre société. L’impact a été significatif : «Cette période du Sida a été terrible. Tout était merveilleux, jusqu’à la mort de Francis. Mes collections se sont bien vendues. La renommée était au-delà de ce que j’aurais pu espérer et j’ai pensé à arrêter. Les aventures professionnelles se succèdent. Je ne suis pas un carriériste. J’ai gardé mes racines populaires. Je n’ai pas fait la mode pour être riche ou célèbre, pour aller aux cocktails, j’ai fait ce métier pour être aimé.

 
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