Par Louise Martin | Éditeur
Koh Lanta, Les Marseillais mais aussi Mariés aux premiers regards… Louise Martin est une télévore qui tente, à ses heures perdues, de refaire les gâteaux qu’elle admire devant le Meilleur Pâtissier… mais elle ne risque pas de remporter le tablier bleu ! Les réseaux sociaux n’ont plus de secrets pour elle, les derniers scoops, les dernières émissions, elle les connaît tous. Elle scrute la vie de vos stars préférées et admire un peu trop les tenues de Nicky Doll dans Drag Race France. Petit plaisir du cou
Sarah Poniatowski a récemment sorti un livre intitulé « Rêver, oser, créer… et recommencer ! ». A cette occasion, elle a accordé une interview à « La Tribune Dimanche » dans laquelle elle revient notamment sur la mort de son père, mais aussi sur ses origines royales. L’ex de Marc Lavoine a tenu à souligner qu’avoir un nom illustre n’était pas tout…
Sarah Poniatowski, son nom royal ne fait pas tout : “Ce n’est pas parce qu’on a un nom qu’on a de l’argent”
Il est sorti le 6 novembre Rêvez, osez, créez… et recommencez !son livre publié chez Flammarion. Décoratrice d’intérieur renommée et autodidacte, Sarah Poniatowski est aux commandes. Dans une interview accordée à Dimanche à la Tribune le 1er décembre 2024, elle parle de son arrivée dans le monde de la décoration d’intérieur. « Avant de se lancer dans l’architecture [d’intérieur]J’ai essayé de devenir actrice avant de comprendre très vite que je n’étais pas faite pour ce métier ! Ensuite j’ai étudié la philosophie, la psychologie… »elle se souvenait. Et de préciser : « Toutes ces expériences me sont utiles aujourd’hui professionnellement. Lorsque vous réalisez un projet pour des clients, vous entrez réellement dans leur intimité. Il faut savoir leur parler psychologiquement pour mieux comprendre leurs envies.La fille du prince Jean Stanislas Poniatowski, directeur de longue date de Voguescie son quotidien a été bouleversé en avril dernier avec le décès de son cher papa.
« Il n’y a pas de regard avec autant de tendresse et d’amour que le vôtre. Je suis qui je suis grâce à toi. Merci papa. jeIl va désormais falloir apprendre à vivre sans… Tristesse infinie. Faites un bon voyage”Sarah Poniatowski a alors écrit sur Instagram. A Dimanche à la Tribuneelle s’est confiée à ce sujet : « Je ne pensais pas que ce serait si dur, même s’il n’y a aucune injustice à partir à 88 ans. J’ai le sentiment de ne pas avoir suffisamment profité de mon père. Si l’ex de Marc Lavoine ne le crie pas sur les toits, elle est issue de la dernière famille royale de Pologne. En effet, la maison Poniatowski est une famille de noblesse polonaise dont le nom apparaît pour la première fois vers 1446 à Poniatowa. C’est son ancêtre Stanisław August Poniatowski qui marqua un peu plus ce nom dans l’histoire en étant élu roi de Pologne et grand-duc de Lituanie en 1764, sous le nom de Stanislas II. Et si la mère de trois enfants profitait de son illustre prénom ? Elle veut rétablir une vérité. A nos confrères, le compagnon de Roschdy Zem a déclaré : «Je vais vous arrêter tout de suite. Ce n’est pas parce que tu as un nom que tu as de l’argent. Les gens confondent notoriété et portefeuille. Je ne suis pas une héritière. Si j’arrête de travailler demain, je n’ai pas d’argent. J’ai besoin de mon salaire pour vivre.
Sarah Poniatowski loin de la vie de princesse
La mère de Yasmine insiste, elle est très loin de la « vie de princesse » qu’on pourrait lui attribuer. Elle a également précisé : « Princesse n’est qu’un titre qui ne change pas ma façon de vivre. D’autre part, Cela aurait sûrement été différent si j’avais vécu en Pologne au XVIIIe siècle. Et d’ajouter : «Bien sûr, je suis bien né. J’ai eu une enfance très agréable, très confortable, avec de beaux voyages, mais j’ai toujours vu mes deux parents travailler. J’ai reçu une éducation assez traditionnelle avec des valeurs importantes. Le respect, la tolérance, mais aussi la curiosité de s’intéresser aux autres, quelle que soit leur origine. Reconnaissante, Sarah Poniatowski assure que c’est grâce à cette éducation qu’elle peut aujourd’hui s’adapter “n’importe où, tout le temps, avec n’importe qui.” «Je n’ai pas besoin d’ultra-luxe. Je prends le métro tous les jours et je fais du vélo dans Paris »a-t-elle conclu sur ce point.
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