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Sandrine Bonnaire s’exprime sur les terribles violences conjugales dont elle a été victime dans Un dimanche à la campagne (VIDEO)

Le mot réparateur… Sandrine Bonnaire était un invité de l’émission Un dimanche à la campagne sur 2, ce 10 novembre 2024. Aux côtés d’Emmanuel Moire et du chef pâtissier Christophe Michalak, l’actrice – actuellement à l’affiche du film Finalement de Claude Lelouch – est notamment revenue sur son choix de parler publiquement des violences conjugales qu’elle a subies il y a plusieurs années. “Cette personne qui m’a attaqué était un compagnon. J’ai été étranglé, je me suis évanouidans un mini coma, même, et il m’a réveillé et mon visage était complètement déformé. J’ai eu une triple fracture de la mâchoire, huit dents cassées…», a-t-elle rappelé.

Un dimanche à la campagne : Sandrine Bonnaire se confie sur les violences conjugales dont elle a été victime

L’actrice de 57 ans confie également à Frédéric Lopez qu’elle a fait le choix de témoigner essentiellement sur “parler de reconstruction« . “Parce que pour aller mieux, c’est tout. Et de me demander pourquoi je suis rentré dans cette histoire, pourquoi je n’ai pas vu certaines choses», a-t-elle poursuivi. “Je suis à la fois extrêmement modeste et je suis une personne assez discrète dans la vie. Et en même temps, je n’ai pas peur de parler. Et Je sais que les mots sont réparateurs et que quand quelqu’un qu’on connaît vit la même chose, quelque part, c’est rassurant. Est-ce que c’est dit : ‘Ah bon… Elle, finalement, elle est comme moi’», a-t-elle ajouté, souhaitant pouvoir aider les autres par sa prise de parole.

Sandrine Bonnaire raconte son enfance atypique dans Un dimanche à la campagne

Lors de l’émission, Sandrine Bonnaire est également revenue sur son enfance, expliquant avoir grandi dans une famille de 11 enfants. “Mon père et mon oncle avaient construit un chalet, sans eau ni électricité (…) Nous ne nous lavions qu’une fois par semainema mère nous lavait dans une baignoire, nous étions 4,5 dedans… Nous ne nous en sortions pas très bien. À l’école, les gens savaient que nous vivions ainsi. Mais en même temps nous sommes restés dignes, mes parents ont été très courageux. Il y avait une vraie liberté. Peut-être que l’audace que j’avais venait de là», a-t-elle déclaré.

 
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