Jean-Pierre Mader réagit à la fermeture du dernier Macumba

Jean-Pierre Mader réagit à la fermeture du dernier Macumba
Jean-Pierre Mader réagit à la fermeture du dernier Macumba
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La fin d’une époque. Le dernier club Macumba va fermer. L’établissement définitif de cette chaîne de 23 discothèques, située à Englos près de Lille, fermera donc ses portes après une dernière soirée festive dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 février. Les raisons de cette fermeture, après 49 ans, ne sont pas les mêmes. connu mais les patrons s’en réjouissent » Institution française, refuge des amateurs de danse et lieu de convivialité « . Evidemment, impossible de penser aux discothèques Macumba sans évoquer le tube éponyme de Jean-Pierre Mader, qui a fait danser toute la en 1985. A l’occasion de cette fermeture, le chanteur toulousain a tenu à réagir. À nos collègues de BFMTVl’artiste de 69 ans parle de « une époque qui se termine » : « C’est synonyme des années 80 qui s’en vont ».

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“Les clubs prescrivent ce qui passerait à la radio”

Car si ces clubs Macumba ont aujourd’hui une connotation datée, ils étaient le symbole d’une époque, comme le rappelle Jean-Pierre Mader : « Il s’agissait de grands clubs qui étaient assez stricts sur ce qui allait être diffusé à la radio. Il y avait beaucoup de DJ résidents. C’étaient aussi des lieux où l’on pouvait entrer facilement, contrairement aux grands clubs parisiens où il y avait un portier qui filtrait. « . La star des années 80 se souvient, à travers ces boîtes de nuit, « une période moins anxieuse ” Ou ” les gens mélangés » : « Il y avait un côté convivial, on pouvait tous se retrouver et faire la fête, il n’y avait pas de barrière sociale, c’était ouvert à tous ».

Celui qui avait chance » chanter dans plusieurs discothèques de la chaîne rappelle que son grand tube « Macumba », vendu à plus de 600 000 exemplaires, ne faisait pas la promotion des clubs à l’époque. ” Cela aurait été un coup de génie, et beaucoup d’argent ! Malheureusement, je n’ai pas eu cette idée. C’est une chanson que j’ai écrite avec mon ami Richard Seff, nous cherchions un endroit où localiser ce genre de migrante avant l’heure. La nouvelle, malheureusement, nous a rejoint » se souvient-il, avoir pensé aux noms « Mocambo » ou « César Palace » avant que Richard Seff ne trouve ce fameux « Macumba » : « Dès qu’on a eu la phrase, on a fini la chanson très vite ».

 
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