Vingt ans plus tard, une page de l’histoire se tourne. Le tout dernier établissement de la chaîne de discothèques Macumba, qui en compte 23, baissera définitivement ses volets fin février après 49 ans d’activité. Située à Englos, près de Lille, elle animera une dernière soirée dans la nuit du 22 au 23 février et ce sera ensuite fini.
Une page d’histoire se tourne avec la fermeture du dernier Macumba
Sur BFM TV, invité dans 9-10 d’AppolineJean-Pierre Mader a réagi à la fermeture du dernier Macumba qui accueille toujours des noctambules désireux de danser jusqu’au petit matin. “C’est une époque qui se termine, synonyme des années 80 qui s’en vont, a-t-il déclaré, soulignant que «c’étaient de grands clubs qui étaient assez prescriptifs sur ce qui allait être diffusé à la radio. Il y avait beaucoup de DJ résidents. C’étaient aussi des endroits où l’on pouvait entrer facilement, contrairement aux grands clubs parisiens où il y avait un portier qui filtrait..
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Nostalgique, le chanteur a évoqué une atmosphère d’une autre époque en se souvenant de Macumba. Une période moins anxiogène et plus ouverte. “Il y avait un côté convivial, on pouvait tous se retrouver et faire la fête, il n’y avait pas de barrière sociale, c’était ouvert à tous ».
-La chanson était destinée à… Philippe Lavil
Toujours sur BFM TV, Jean-Pierre Mader a cependant expliqué qu’il n’y a aucun lien entre sa chanson et la chaîne de discothèques Macumba autre que l’utilisation du nom pour donner un décor dans lequel placer leur danseuse migrante. Il n’était donc pas question de publicité pour promouvoir ces établissements. “Cela aurait été un coup de génie, et beaucoup d’argent ! Malheureusement, je n’ai pas eu cette idée. a-t-il confié.
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Petit détail rappelé dans la biographie du chanteur sur le site Nostalgie : cette chanson n’était pas destinée à l’origine à Jean-Pierre Mader. Il l’avait initialement composé pour Philippe Lavil qui surfait alors sur le triomphe de son single « Il tape sur des bambous ». Il la refuse cependant, tout comme les maisons de disques qui déclinent la première version enregistrée par Jean-Pierre Mader. Le titre a dû passer par la case remix en Italie, avec l’utilisation de synthétiseurs, pour en faire le hit que les plus de quarante ans reconnaissent instantanément.
