La confession est si charmante qu’on ne peut s’empêcher de sourire en lisant ces quelques lignes enfouies dans la légende de poste Instagram du chef texan Adrian Lipscombe. Publié ce 6 janvier, le commentaire se veut un plaidoyer pour la nouvelle série Netflix créée par son amie, la duchesse de Sussex, Avec amour, Meghanen réponse à un article sur le site Eater. En effet, si les huit épisodes de cette quasi-réalité seront disponibles sur la plateforme américaine le 15 janvier, sa bande-annonce, dévoilée il y a cinq jours, fait déjà l’objet de nombreuses critiques. Pour faire taire ses détracteurs, l’épouse du prince Harry a pu compter sur ses proches, comme Adrian Lipscombe sur ses réseaux sociaux. L’occasion de partager une anecdote inattendue sur la princesse Lilibet.
A trois ans, la discrète petite rousse semble pleinement assumer son statut de petite-fille du roi Charles III. D’une manière délicieuse, semble-t-il. « Nous avons parlé de nos familles – en particulier de la phase princesse de nos filles et des films qu’elles aiment – et, bien sûr, de la nourriture », explique le fondateur d’Uptowne Cafe and Bakery dans le Wisconsin. La fameuse « phase princesse » incontournable pour toutes les petites filles atteignant l’âge de trois ou quatre ans, avec son amas de tulle, de mousseline et de paillettes, ne pouvait pas mieux tomber. On imagine facilement Lilibet dans une robe Cendrillon et un diadème sur la tête. Un comble pour les Sussex, qui ont volontairement choisi de s’éloigner de l’or de la Couronne pour une vie plus simple.
“J’ai eu le plaisir de rencontrer Meghan autour d’un repas, et laissez-moi vous dire qu’elle et son célèbre partenaire font partie des personnes les plus terre-à-terre que j’ai jamais rencontrées”, se défend Adrian. Lipscombe qui dénonce les jugements hâtifs du site Eater et sa volonté de faire du « sensationnalisme pour obtenir des clics ». Elle souhaite également souligner à quel point Meghan était « aimable, engagée et gentille » avec elle. Il ne fait aucun doute pour le chef que le problème n’est pas lié à la duchesse, mais à la volonté « des médias et du divertissement de minimiser les efforts des femmes, notamment de couleur, pour créer quelque chose de significatif ». Avant de demander le retrait de l’article. Parce que “Meghan mérite mieux”.
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