L’icône mondiale de la musique, DJ Snake, a récemment attiré l’attention au-delà de la scène artistique. Invitée sur un live Twitch avec le streamer Naskid le 19 novembre 2024, l’artiste franco-algérienne s’est engagée dans une conversation riche, abordant des sujets variés, avant de faire une révélation explosive !
En effet, l’Élysée aurait contacté DJ Snake pour lui demander de supprimer une publication qu’il avait partagée sur son compte X concernant le génocide subi en Palestine, en réponse au président français, Emmanuel Macron. Une déclaration inattenduece qui a rapidement enflammé les médias.
L’Élysée aurait tenté de faire taire le soutien de DJ Snake à la Palestine
Tout remonte à mai 2024, lorsque le président de la République française, Emmanuel Macron, réagissait sur la plateforme X aux frappes israéliennes à Rafah, dénonçant les attaques meurtrières qui ont coûté la vie à de nombreux Palestiniens innocents. DJ Snake, étant engagé pour la cause palestinienne, a rétorqué : « Combien de civils et d’enfants sont morts pendant le génocide ? »
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Le message de l’artiste, suivi par des millions d’internautes, a dépassé en popularité le poste de président, un succès qualifié de « ratio » sur Internet. Cela aurait évidemment ennuyé services présidentiels, qui aurait contacté l’entourage de DJ Snake, lui demandant de supprimer son message. Cependant, DJ Snake a catégoriquement refusé de supprimer son tweet. Soulignant : « nnormalement, ce n’est pas à moi d’appeler Emmanuel Macron sur Twitter et à l’Élysée d’appeler ma direction ».
Par ailleurs, DJ Snake regrette qu’il soit nécessaire pour un artiste porte la voix des victimes du génocide, et le silence persiste autour de ce sujet, déclarant qu’il est DJ et non un activiste politique.
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D’ailleurs, lors du live Twitch avec Naskid, l’artiste d’origine algérienne a réitéré son soutien en dénonçant les violences injustes infligées au peuple palestinien. Ainsi, la séquence est rapidement devenue virale, atteignant près de 500 000 vues en une demi-journée sur les réseaux sociaux.