Où nous emmènes-tu ? Habituellement, le covoiturage se fait dans des voitures routières, vous m’étonnez !
Nous nous rendons sur le circuit de Dijon-Prenois (Côte-d’Or), à bord de la Lamera du team Fast Kukki Racing, l’équipe avec laquelle j’ai disputé quatre épreuves de Coupe cette saison. C’est une tradition. Le vendredi, avant le début des essais, les invités pourront prendre place à la place passager pour leur faire découvrir les sensations de ce prototype de belle facture. Vous avez de la chance, car nous allons emprunter un parcours particulièrement amusant avec de jolis virages et beaucoup de montées et de descentes.
Pourquoi avez-vous jeté votre dévolu sur la Coupe Lamera ?
J’aime beaucoup la philosophie de cette coupe monomarque. Tout le monde a le même équipement. Nos voitures sont identiques en termes de performances. C’est très agréable à conduire, d’autant plus qu’il n’y a pas d’assistance de direction. Il faut rouler vite tout en prenant soin de sa balade. Ce qui ne gâche rien, c’est que l’ambiance générale est bon enfant et le temps de roulage sur piste est très long. Pour moi, c’est une façon agréable de me déconnecter de mon travail habituel tout en restant très assidu au volant.
Enfant, vous rêviez d’être pilote ou chanteur ?
Ni l’un ni l’autre. Je rêvais de devenir footballeur professionnel ! J’ai très bien joué. De 13 à 15 ans, j’étais régulièrement sélectionné chez les Diables Rouges (l’équipe nationale belge. NDLR). J’ai joué au KFC Rhodienne, un club de 1ère division provinciale. Chaque année j’avais l’occasion d’aller à Ande