Lucas Bravo (Emily in Paris, Libre) souffre d’un syndrome qui touche 70% des gens à un moment de leur vie

Lucas Bravo (Emily in Paris, Libre) souffre d’un syndrome qui touche 70% des gens à un moment de leur vie
Lucas Bravo (Emily in Paris, Libre) souffre d’un syndrome qui touche 70% des gens à un moment de leur vie
Lucas Bravo (Emily in Paris, Libre) souffre d’un syndrome qui touche 70% des gens à un moment de leur vie

On ne peut plus se débarrasser de l’image de Gabriel, le cuisinier qui a fait fondre le cœur d’Emily. C’est l’acteur Lucas Bravo qui se cache derrière ce personnage qui fait désormais chavirer les coeurs à travers le monde. Parti aux Etats-Unis à l’âge de 17 ans pour étudier le théâtre, le jeune homme revient ensuite à Paris pour participer à des castings. Il décroche son premier rôle dans la série «Sous le soleil de Saint-Tropez» et enchaîne les castings jusqu’à celui d’Emily in Paris qui change complètement son rapport à la célébrité. Interviewés par nos confrères de Paris Match, le footballeur Daniel Bravo et la chanteuse Eva Bravo, les parents de l’acteur, ont évoqué la réussite de leur fils. Sa mère a confié : « En , ça va, mais à l’étranger, c’est la folie ! Je n’aimais pas vraiment quand Daniel était monopolisé par ses fans. Maintenant, c’est mon fils qui est agressé aux Etats-Unis, à Hong Kong, en Inde… C’est compliqué !. Et l’ex-footballeur ajoute : « Cette notoriété peut lui rendre la vie difficile. Je connais mon fils, il est profondément gentil et a besoin de vivre en paix, en toute liberté, sans crainte d’être espionné ou constamment approché..

Dans son portrait dressé par nos confrères, l’acteur aux beaux yeux bleus revient sur son parcours et sur le fait qu’il semble être parfait, presque le gendre idéal. Face à cette image qu’il renvoie, Lucas Bravo nous invite à prendre des pincettes. « Ouh oui ! Arrêtez de dire que je suis l’homme idéal ! En réalité, je suis pleine d’anxiété et je me pose un peu trop de questions. J’aimerais traverser la vie avec plus de légèreté”a-t-il admis. Et pour résumer : « Je suis convaincu que c’est l’anxiété qui nous pousse à être ce que nous sommes. Ce que je veux dire par là, c’est qu’à partir du moment où l’on arrête de se remettre en question et s’installe dans un certain confort, on devient un peu bête.. L’acteur semble loin d’en arriver là puisque c’est nourri par le syndrome de l’imposteur qu’il continue d’évoluer dans le monde du cinéma, « tiraillé entre un ego flatté par une notoriété soudaine et le doute sur sa légitimité »soulignent nos confrères.

Selon le Journal des sciences du comportement, “70% des personnes, quel que soit leur sexe ou leur catégorie socioprofessionnelle, ont ressenti au moins une fois un sentiment d’imposture”. Si ce phénomène concerne largement le domaine professionnel, il touche également le domaine personnel.

Un souvenir d’humiliation pour Lucas Bravo

Ce sentiment remonte à l’enfance “au détour d’une humiliation”. « Un matin, j’ai raté un virage avec mon skateboard en arrivant devant l’école. Je me suis retrouvé sur les fesses et la planche a fracassé les jambes de la fille dont j’étais secrètement amoureux. Tout le monde m’a vu m’étendre comme une crêpe et ce qui aurait pu être un prétexte à une rencontre est devenu un motif de pré-rupture. C’est alors que j’ai découvert que j’avais un karma immédiat : dès que j’essaie d’être intelligent, je le paie en cinq minutes.il a dit Paris Match. Lucas Bravo s’interdit donc tout « frimeur » au risque d’en payer rapidement les conséquences ! On retrouve l’acteur, depuis le 1er novembre, à l’affiche de Librele dernier film de Mélanie Laurent dans lequel il joue Bruno Sulak qui a marqué l’histoire du banditisme.

 
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