La fille de Douglas Emhoff et la belle-fille de Kamala Harris n’ont pu retenir ses larmes après avoir entendu le discours de sa belle-mère, candidate perdante à l’élection présidentielle américaine, mercredi 6 novembre.
Son visage déformé par les larmes alors qu’elle s’apprête à serrer quelqu’un dans ses bras, c’est le portrait que l’on retiendra d’Ella Emhoff au lendemain du résultat de l’élection présidentielle américaine. La jeune femme de 25 ans, fille de Douglas Emhoff, est la belle-fille de Kamala Harris. Et l’un de ses principaux soutiens aussi. C’est donc tout naturellement qu’elle a pris place debout, au premier rang devant la scène qui avait été installée sur le campus de l’université Howard, à Washington, pour écouter le discours de sa belle-mère. La veille, le 5 novembre, Kamala Harris venait de perdre la course à la présidentielle face à Donald Trump.
“Le combat ne s’arrête pas maintenant”
Comme si elle avait pris le temps de se remettre de ses émotions, Ella Emhoff a adressé un message aux partisans de Kamala Harris en story de son compte Instagram, ce jeudi 7 novembre. « Il n’y a vraiment pas de mots », a-t-elle écrit, toujours visiblement visible. déplacé. Nous allons tous nous en sortir. Ça fait tellement mal en ce moment et c’est normal.
En écho au discours de Kamala Harris, Ella Emhoff a alors appelé à ne pas rendre les armes. “Le combat ne s’arrête pas maintenant”, a-t-elle déclaré sur les réseaux sociaux. Veuillez prendre des nouvelles de vos proches à ce moment-là. Comme sa belle-mère, la belle-fille du candidat démocrate a elle aussi appelé à la mobilisation. “C’est le moment de vous organiser, de vous mobiliser et de faire une différence dans vos communautés, petites ou grandes”, a-t-elle déclaré avant de conclure : “Je suis là pour vous tous et je vous aime”.
“Je n’abandonnerai jamais”
La veille, Kamala Harris avait en effet prononcé un discours reconnaissant sa défaite face à Donald Trump, certes, mais plein de combativité. Si je concède cette élection, je ne concède pas forcément le combat qui a alimenté cette campagne. Un combat, affirme-t-elle, qu’elle « n’abandonnera jamais ».