péché de gourmandise – .

péché de gourmandise – .
péché de gourmandise – .

Lorsque j’ai rencontré Jean-Pierre en 2004 pour écrire sa biographie, je me doutais qu’il était « un homme à femmes ». C’était la réputation qu’il avait.

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Mais après 40 heures d’entretiens avec lui et d’entretiens avec 40 personnes autour de lui, j’ai découvert un homme complètement différent. Jean-Pierre n’a pas abordé les femmes en conquérante, mais en gourmande. Il n’accumulait pas les relations pour remplir sa liste de chasse, mais plutôt comme un enfant qu’on aurait laissé entrer dans une pâtisserie et qui ne comprendrait pas pourquoi on ne lui permettrait pas de goûter le gâteau aux fraises après l’avoir dévoré. un éclair au chocolat. C’est tellement bon!

Avec les femmes, Jean-Pierre n’a pas commis un péché de luxure mais un péché de gourmandise.

S’il savait parler aux femmes

L’amour des femmes se retrouve dans presque toutes les pages de la biographie Hé Gumball, es-tu devenu un homme ?

Écoutez, dans le chapitre sur la religion, j’ai écrit ceci : « Jean-Pierre va à la messe tous les jours de sa vie. Jusqu’au jour où il se marie : « Le jour de mon mariage, au pied de l’autel, j’ai dit : ‘Mon Dieu, toi qui es mon père, je te demande de retarder au maximum ma première tromperie.’ Cela a pris une semaine. (Des rires). Quand je me suis marié pour la première fois, j’aimais déjà une autre femme.

Jean-Pierre s’est marié trois fois. La première, en 1956, avec Rita Courchesne, avec qui il eut son fils Bruno. La deuxième fois, en 1971, avec Lise Tremblay, avec qui il a eu sa fille Julie. La troisième fois, en 2000, avec Dyane Lessard, dont il est séparé, avec qui il a vécu plus de 20 ans et à qui il a offert la chanson en cadeau d’anniversaire pour ses 40 ans. Tu es belle (musique de François Cousineau).

Dans la vie de Jean-Pierre, il y a eu son grand chagrin, Constance Walsh, qui l’a conduit au bord du précipice. Il y avait l’actrice Sylvie Bourque. Et il y avait des flirts à gauche et à droite. Il y avait Danielle Ouimet, qui m’a dit que Jean-Pierre était l’un des beaux « French kiss » de sa vie. Il y avait F., il y avait C., il y avait toutes ces femmes dont le visage s’éclaire d’un petit sourire quand on leur demande quelle était la nature de leur relation avec Jean-Pierre.

Et puis… il y avait Julie Anne, la dernière. Je me souviendrai toujours de ma dernière visite à Jean-Pierre au CHSLD où il a terminé ses jours. Je me souviendrai toujours de la tendresse dans les yeux de Jean-Pierre lorsqu’il aperçut Julie Anne et lui dit combien il l’aimait, qu’il la trouvait belle ! Dans le brouillard de sa vie, Julie Anne était un phare.

Dans l’une de ses plus belles chansons, Jean-Pierre chantait :

« Qu’êtes-vous devenues, mes femmes ?

Toi qui as tant pleuré pour moi ?

Qu’êtes-vous devenues mes femmes

Est-ce que je t’aurais autant aimé ?

Ou est-ce que je te connais si mal ?

Les femmes aimées de Jean-Pierre m’ont toutes parlé de lui avec tendresse. Cela répond sûrement en partie aux questions du chanteur.

 
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