De plus en plus de célébrités se pressent pour s’asseoir sur le canapé « It Starts Today ». Plus de 5 500 invités ont vécu les heures de gloire de l’émission de témoignages de France 2, qui a fêté son millième numéro en mars dernier, parmi lesquels Adeline Toniutti, Sylvie Vartan et Bruce Toussaint. Chacun n’a pas hésité à se confier à Faustine Bollaert sur ses traumatismes passés. Emmanuel Macron, poussé par ses collaborateurs, aurait aussi voulu passer au détecteur de l’hypersensible assumé pour un grand entretien en face-à-face, suite à l’annonce de sa dissolution de l’Assemblée surprise. « Le Parisien » révélait alors que l’animateur avait poliment décliné cette initiative à plusieurs reprises.
Une question de timing
Invitée à la table du « C à vous », ce vendredi 25 octobre, la compagne de Maxime Chattam a confirmé cette information, expliquant les raisons de son refus. « Je n’ai certainement pas refusé. Je sentais juste que ce n’était pas le bon moment. C’est compliqué de prendre ce genre de décision. elle a d’abord contredit Patrick Cohen pour une question de rhétorique. Avant de donner les raisons de son veto : «C’était juste avant les élections législatives et je sentais que j’avais cette capacité, je pense, à rallier la sympathie. J’avais l’impression d’être exploité. Ainsi, après de nombreuses conversations, j’ai expliqué pourquoi je serais extrêmement heureux de voir le président, mais que le timing faisait que je ne me sentais pas à ma place. ». Puremédias.com vous propose de revoir la séquence dans la vidéo ci-dessus.
Illégitime de parler politique ?
Aurélie Casse, qui remplaçait pour l’occasion Anne-Elisabeth Lemoine, lui a demandé si elle s’était entretenue directement au téléphone avec le président de la République. Ce que Faustine Bollaert a corroboré après avoir utilisé l’ironie pour expliquer son complexe d’illégitimité. “Par ailleurs, je ne suis pas journaliste politique et je ne pourrais pas boucler l’ENA, Sciences Po et dix années de BFM en trois jours. J’ai découvert qu’à un moment donné, je devais aussi rester à ma juste place. » s’est justifiée celle qui a rassemblé environ un million de téléspectateurs depuis la rentrée de septembre.