« Je revenais à pied de Marcory à Port-Bouët avec… »

« Je revenais à pied de Marcory à Port-Bouët avec… »
« Je revenais à pied de Marcory à Port-Bouët avec… »

Mix Premier a parlé de ses débuts en tant que DJ. Ces moments où il n’avait pas une pièce en poche et où il devait rentrer à pied de Marcory à Port-Bouët.

L’artiste admet que c’était difficile financièrement à ces débuts.

«Lorsque j’ai été engagé comme DJ dans un espace, je n’ai pas commencé à m’entraîner immédiatement, ce qui a rendu la situation financièrement difficile.

J’ai passé plus de deux semaines sans avoir accès à la cabine du DJ, mais je devais y être tous les jours à partir de 18h30, debout jusqu’à l’arrivée des clients.

Il n’y avait pas d’heure de dépose, car tant qu’il y avait des clients, je devais rester.

La première fois que j’ai eu le micro, après mon attalaku, mes prédécesseurs m’ont pris mon argent. Je revenais à pied de Marcory à Port-Bouët avec mon ami Bouazo Michel.

En chemin, nous avons acheté des cacahuètes à manger. Ma motivation était mon amour pour la musique.

En interne, je me suis toujours dit qu’un jour, j’aurais l’opportunité d’avoir le micro, et que ce jour-là, mon talent serait reconnu. C’est ce qui s’est passé le premier jour où j’ai eu le micro.

Loin de moi l’idée de me vanter, mais j’ai impressionné tout le monde ce jour-là.

Ils n’étaient pas habitués à entendre de l’attalaku avec des mélodies, c’était souvent de la pure ambiance. J’ai donc su me démarquer immédiatement. » » a déclaré Mix Premier.

 
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