Depuis deux ans, Faustine Bollaert propose régulièrement des semaines spéciales célébrités dans son émission quotidienne, Ça commence aujourd’hui. Et nombre d’entre eux ont déjà accepté de raconter leur parcours, parfois douloureux, dans cette émission propice aux témoignages. De Chris Marques à Dominique Lagrou-Sempère en passant par Jean-Luc Reichmann, Sylvain Augier, Françoise Laborde, Didier Barbelivien, Michael Jones, Yves Camdeborde ou encore Jean-Michel Maire. Ce mardi 15 octobre, Samy Naceri a lui aussi fait craquer l’armure.
Samy Naceri : cette fois-là, il partageait l’écran avec Jean-Paul Belmondo
A l’occasion du thème « Acteur, danseur, écrivain, chorégraphe : ils ont réalisé leur rêve d’enfant »la star de la saga Taxi était parmi plusieurs artistes, dont Anthony Colette, lorsqu’il est venu sur le plateau de l’animateur phare de France 2. Ensemble, ils ont retracé son enfance, ses aspirations, ses déceptions et ses belles rencontres. Il se souvient notamment encore très bien de sa collaboration avec Jean-Paul Belmondo en 2001 pour le téléfilm L’Ancien de Ferchaux. Une fiction symbolique pour l’acteur aujourd’hui décédé puisqu’il avait déjà donné vie à cette même adaptation cinématographique en 1962. C’est pourquoi son partenaire de jeu était particulièrement stressé…
Samy Naceri, anxieux à l’idée de tourner avec une légende du cinéma
“C’était un populo, un gars pas de la rue, car il vient d’un milieu bourgeois mais il était un ancien boxeursportif, c’était un homme franc-parlant ! DONC, [j’étais] à l’aise, dans des conversations comme celles-là après le tournage et autres »» dit Samy Nacéri lorsqu’on lui demande de décrire sa relation avec Bébel. Malgré leurs échanges hors caméra, l’acteur qui vient de se marier avoue avoir redouté le tournage. “J’avais très peur, très peur de ne pas être à la hauteur. Et il m’a tendu la main il a fait en sorte de me mettre à l’aise et que j’ai donné tout ce que j’avais à donner et que j’ai montré ce que j’avais dans le bideque je nourris mon personnage et que le film soit à la hauteur de toutes les attentes, de la production, du réalisateur, de lui et de moi »» précise-t-il avec une pointe de nostalgie. Il garde en tête un homme donc bienveillant et « paternaliste ».
