Sonia Devillers revient sur les secrets de son arrivée au 7h50 de France Inter

Sonia Devillers revient sur les secrets de son arrivée au 7h50 de France Inter
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Sonia Devillers dans « Cmédia »
Capture d’écran

L’émission « Cmedia » était consacrée ce dimanche à la radio du service public. Mélanie Taravant a reçu la réalisatrice Adèle Van Reeth mais aussi deux journalistes dont l’ancienne animatrice de “9h10”.

L’édition était spéciale ce dimanche 21 avril. «Médias C» est passé en mode « France Inter » avec la diffusion d’un documentaire exceptionnel de François-Xavier Rigot dans les coulisses de la radio mais aussi avec des invités sur le plateau. Parmi eux se trouvaient la réalisatrice Adèle Van Reeth et les journalistes François Régis Gaudry et Sonia Devillers.

Et si cette dernière travaillait depuis plus de 10 ans au sein de la radio France Inter, sa carrière a pris un nouveau tournant fin juillet dernier lorsqu’elle a été nommée en remplacement de Léa Salamé qui occupait jusqu’alors la case de « L’Invité du 7 : 50h00 Cette interview – qui dure une dizaine de minutes – est au cœur de la matinale de la fréquence. Et c’est pourquoi Adèle Van Reeth a souhaité que Sonia Devillers prenne les rênes.

Lire aussiAvant de remplacer Léa Salamé, Sonia Devillers fait ses adieux au 9h10 de France Inter

Toutefois, cette décision n’a pas été immédiatement évidente pour l’intéressé. “Je n’apprends pas le métier de radio et je pense qu’on ne peut pas faire 7h50 si on ne connaît pas profondément, intimement, charnellement le mécanisme de la radio”, a souligné celle qui détient sa carte de presse depuis vingt ans. Pour autant, cette rencontre n’était pas forcément un cadeau. « Il y a le timing – 9 minutes – il y a aussi la pression, le pic d’audience. Il y a aussi des invités politiques. » Autant d’éléments qui ont freiné le journaliste.

«Quand Adèle me l’a proposé l’année dernière, j’ai dit non. Je lui ai dit que ce n’était pas possible, que je n’avais jamais fait de politique. Je ne voulais pas accorder cette interview parce que je n’ai jamais interviewé d’invités politiques. » Des doutes auxquels le directeur de la radio a répondu très simplement. Adèle Van Reeth ne cherchait en aucun cas un énième journaliste politique. « Elle m’a dit que j’allais accorder cette interview justement parce que je n’avais jamais fait d’interview politique et que c’était ce qu’elle voulait. Elle voulait quelqu’un qui porte un regard neuf sur l’actualité et la politique, donc c’était vraiment une conviction.s’est justifié le journaliste avant d’être coupé par le directeur de France Inter : “Enfin je voulais surtout Sonia Devillers”.

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