Par Louise Martin | Éditeur
Koh Lanta, Les Marseillais mais aussi Mariés aux premiers regards… Louise Martin est une télévore qui tente, à ses heures perdues, de refaire les gâteaux qu’elle admire devant le Meilleur Pâtissier… mais elle ne risque pas de remporter le tablier bleu ! Les réseaux sociaux n’ont plus de secrets pour elle, les derniers scoops, les dernières émissions, elle les connaît tous. Elle scrute la vie de vos stars préférées et admire un peu trop les tenues de Nicky Doll dans Drag Race France. Petit plaisir du cou
Albert de Monaco est un grand fan d’automobile et ne s’en est jamais caché. Le prince a accepté qu’une partie de sa grande collection soit exposée à Mulhouse à l’exception d’un modèle, bien trop cher à son cœur pour quitter la principauté. Le mari de Charlène de Monaco s’est également confié, à nos confrères de “Point de vue”, sur la genèse de cette passion qui ne date pas d’aujourd’hui.
Albert de Monaco : Cet objet inestimable qui appartenait à son père et qui ne quittera plus le Rocher
Le Prince Albert II de Monaco est un grand amateur d’automobile depuis sa plus tendre enfance, comme il l’a confié à nos confrères de Point de vue. Dans une interview en marge de l’exposition actuellement organisée à Mulhouse et qui présentera une partie de la collection commencée par son père, Rainier III, à la fin des années 1950, l’époux de Charlène de Monaco a ouvert son cœur. Sur sa passion, il a expliqué : “C’est avant tout une affaire de famille, une passion entretenue par mon père, le Prince Rainier III, qu’il a transmise à mes sœurs et à moi-même”. Et pour continuer : “Il les collectionnait avec ferveur et en prenait grand soin, puis il créa un musée en 1993, ‘La Collection d’Automobiles de SAS le Prince’, afin que le public puisse venir en grand nombre les admirer”.
Pour l’exposition intitulée « De Monaco à Mulhouse », qui se tiendra jusqu’au 3 novembre au Musée National de l’Automobile, le Prince Albert II a accepté de prêter certains de ses modèles les plus emblématiques, à l’exception d’une voiture : la Chrysler Imperial de 1956. est l’automobile que son père avait choisie pour récupérer sa fiancée en 1956 à son arrivée à Monaco après avoir traversé l’Atlantique à bord du paquebot SS Constitution. A l’époque, le journaliste de Paris-Match qui était présent pour couvrir l’événement s’inquiétait de la taille du chapeau de la future princesse. Il murmura même : « Il ne franchira jamais la porte« .
Une affaire de famille
La première “entraîneur” La grand-mère monégasque de Charlotte Casiraghi tient donc une place importante dans le cœur de ses enfants et c’est pour cette raison qu’il ne quittera jamais le rocher comme le précise Guillaume Gasser, directeur du musée de l’automobile de Mulhouse. « Un trésor bien trop inestimable qui ne peut quitter le Rocher, même un instant. Parce que ça fait partie de sa légende”ont également analysé nos confrères de Point de vue. Cela dit, ce musée demeure selon Albert II de Monaco, « l’endroit idéal pour partager [sa] passion pour les voitures avec le public”. Et pour continuer sur cette passion : « Pour ma part, ma passion remonte à l’enfance, mes sœurs et moi roulions dans des voitures très différentes les unes des autres, mais toujours étonnantes et belles. Toutes ces voitures m’ont fait rêver”.
Concernant la voiture disparue lors de l’appel du musée de Mulhouse, le palais princier a donné quelques précisions sur ce modèle “haut de gamme” en 2019. Acheté à New York, il était doté des meilleures innovations en matière de confort pour l’époque. “Cette voiture élégante offrait l’avantage de sièges et vitres électriques, de la climatisation, du freinage et de la direction assistée”, nous avons appris. Et ce n’était pas tout, elle avait un « boîte de vitesses automatique, commandée par une simple pression sur des boutons poussoirs placés sur le tableau de bord ». L’automobile, une affaire de famille pour les Grimaldi !
