Des débuts compliqués. José Garcia est une figure emblématique du cinéma français. Connu pour ses rôles dans La vérité si je mensou Les seigneursil est actuellement affiché dans Nous les Leroy qui sort en salles ce 10 avril. Mais l’acteur est aussi indissociable de son ami Antoine De Caunes avec qui il a joué dans le spectacle Nulle part ailleurs. Mais avant de connaître le succès grâce à ses sketchs et ses films, José Garcia a longtemps eu du mal à vivre de sa passion. Il s’est exprimé sur le sujet dans Bonjour, la matinale sur TF1.
José Garcia parle de ses années difficiles
Avant l’explosion de sa carrière, l’acteur a vécu des années »très dur“.”Il y a eu dix ans de lutte, sans pouvoir être payé pour le travail. C’est ça qui était difficile», avoue l’ami d’Antoine de Caunes. José Garcia n’a cependant pas abandonné. “J’ai fait des tonnes de stages, j’ai appris mon métier pendant sept, huit ans non-stop. Nous avons eu la chance d’avoir la possibilité d’avoir des stages déjà prépayés par Pôle Emploi. Donc entre les petites pièces qu’on jouait et tout ça, j’ai fait plein de choses : Commedia dell’arte, formation de cascadeurs, école de cirque…“, il dit. L’acteur affirme que ces années de lutte l’ont certainement aidé à ne pas prendre la grosse tête une fois qu’il a connu le succès.
Le reste sous cette annonce
José Garcia se confie sur les violentes critiques qu’il a reçues au cours de sa carrière
Même s’il n’a jamais renoncé à son désir d’agir, José Garcia a dû faire face à de nombreuses difficultés. Outre ses difficultés économiques, l’acteur a été victime de violentes critiques. “Quiconque s’assoit dans un fauteuil de cinéma se considère comme un critique, comme ceux qui regardent le football et crient parce qu’ils sont entraîneurs. Dès que tu fais quelque chose maintenant, il y a toujours une bonne équipe de gens qui sont là pour te gronder, te massacrer», confiait-il il y a quelques jours à En aparté avant d’admettre que c’est »massacre« Aujourd’hui, il ne se laisse plus affecter par cela et continue de faire le métier qu’il aime.