Carla Bruni, l’alcool une de ses “grandes faiblesses” : elle se confie

Carla Bruni, l’alcool une de ses “grandes faiblesses” : elle se confie
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Carla Bruni a tout connu, ou presque. Une vie de mannequin, de mère, de Première dame, de musicienne et de chanteuse. Un parcours mené de plein fouet fait de strass et de paillettes, mais aussi de quelques excès dont elle ne se cache pas. Invité sur le plateau de l’émission italienne Belvé (Rai), ce 2 avril, l’épouse de Nicolas Sarkozy explique avoir eu une « tendance à la dépendance de tout ». « À tout : le sucre, la cigarette, l’alcool… Je n’aime pas la drogue, confie-t-elle. Certaines personnes peuvent prendre un verre et c’est suffisant. Dès que je bois une première gorgée de vin, une sorte de petit diable délicieux arrive… Un petit diable doux, qui me réchauffe le cœur et me dit : ‘Continue.’ À quel point tu es bien. Cela vous fait du bien. Face à l’hôte amusé, elle poursuit : « Il m’a dit : ‘C’est amusant. C’est sympa, tout le monde vous souhaite bonne chance. Bois le troisième verre, bois le quatrième sinon tu ne dormiras pas..

Et ajoute : “C’est une tragédie”. Si “L’alcool est pour les gens modérés”Carla Bruni estime qu’elle n’en fait pas partie. « Ça n’a rien à voir avec moi… je l’attends ! » elle dit. Elle revient ensuite à Résidents d’été, le film autobiographique « imaginaire » sur sa famille écrit par sa sœur Valeria Bruni-Tedeschi. Un long métrage dans lequel le personnage d’Elena, interprété par Valeria Golinon, la représente et qui ne l’a pas laissée à l’aise : «Cette femme qui joue Valérie Golino, c’est une ivrogne. Cela m’a dérangé parce que je sais que ça pourrait être moi. C’est l’une de mes plus grandes faiblesses. Elle nuance : « Je ne me sens pas représenté, je me sens utilisé. Ce n’est pas la même chose. Être représenté n’est pas un problème. Je suis un artiste. J’utilise certaines personnes pour faire mon travail, je l’inspire, mais je m’en inspire avec prudence. Avant d’ajouter : « Elle ne le fait pas, elle laisse faire les choses et ne prend pas forcément les choses à la légère parce qu’elle est comme ça, c’est sa façon de créer. Et je comprends cela aussi. Mais cela peut avoir des répercussions et des conséquences ».

Les confidences de Carle Bruni sur Nicolas Sarkozy

Ce n’est pas la première fois que l’artiste de 56 ans s’exprime ainsi. Invité du podcast Contre-addictions, animée par la chanteuse Rose, elle raconte comment ses addictions ont commencé « par le sucre, très très très assidûment » : « Je n’étais pas encadré donc depuis mon enfance, je devais boire 30 à 40 Coca Cola par jour. Et je n’ai pas mangé de repas normaux, je n’ai mangé que des pastilles, 3 boîtes de Valda. J’ai commencé par ça. Et puis très très vite le tabac, qui est dans ma famille donc ils ne pouvaient rien me dire ».

L’alcool est arrivé “tranquillement. Je n’ai pas beaucoup parlé de drogue, car en fait, je n’aime pas beaucoup avoir des ennuis. « J’aime la douce ivresse. Le problème c’est que comme je suis addict, je ne m’arrête pas à la douce ivresse, continue-t-elle. Alors maintenant, je dois renoncer à l’alcool. Je rechute environ une fois par mois.. Cependant, l’ancien modèle a réussi à “pratiquement arrêté de fumer” : “J’ai l’impression, à 55 ans, d’être un idiot de 14 ans qui ne savait rien et maintenant je sais tout.” Quant à son mari Nicolas Sarkozy, elle confie : « Il m’aide à arrêter parce qu’il ne boit pas. Il ne boit pas parce qu’il n’a jamais bu de sa vie et il ne va pas commencer à cet âge. Il n’est pas un grand fan du lâcher prise, alors que moi… nous ne sommes pas les mêmes prototypes !

 
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