La liberté de ton de Meghan Markle a effrayé le prince Harry. S’il est tombé sous le charme de l’actrice libre en 2016, le duc de Sussex a vite compris que la personnalité de sa future épouse pouvait choquer la Couronne. Avant d’annoncer leurs fiançailles, en 2017, il avait demandé à Meghan Markle d’être particulièrement prudente dans ses propos. Et il lui donna plusieurs instructions précises.
Ce fut notamment le cas lorsqu’elle s’exprima longuement dans les colonnes de Salon de la vanité. En septembre 2017, la duchesse de Sussex faisait la couverture du prestigieux magazine. Dans les colonnes, elle a évoqué ses origines, le racisme dont elle a été victime mais aussi son travail dans la série Suits. “En extase” lorsqu’elle a reçu la proposition de Vanity Fair, Meghan Markle a été briefée par le prince Harry. C’est en tout cas ce qu’on apprend dans Vengeance : Meghan, Harry et la guerre entre les Windsor.
Meghan Markle : ces sujets dont elle ne devrait pas parler
Selon Tom Bower, Meghan Markle avait pour consigne d’éviter de parler de sa relation avec le prince Harry. «Le rédacteur en chef est arrivé au domicile de Meghan. Elle lui a immédiatement dit que cette interview se déroulait sous les ordres stricts de Harry et Keleigh Thomas Morgan. [l’expert en communication des Sussex, ndlr]»expliqua l’auteur royal.
Si le prince Harry avait informé Meghan Markle, ceci afin que les erreurs du passé ne se reproduisent pas. « Consciente que Lady Diana et Sarah Ferguson s’étaient détruits lors d’interviews, Harry avait demandé à Meghan de garder le silence sur des sujets sensibles”, a poursuivi le spécialiste de la Couronne. Selon lui, il était interdit à la duchesse de parler de “ Donald Trump, de race, leur relation et surtout lui-même ».
Le titre de Vanity Fair a rendu Meghan Markle folle
Et si Meghan Markle a accepté les interdictions, Vanity Fair a piqué le couple. En effet, ils ont choisi : “Elle est folle d’Harry.”. De quoi provoquer la colère noire des Sussex. « Hystérique, elle a appelé ses communicants. Elle leur décrivit la fureur du palais de Buckingham contre ce titre, dit l’auteur. Ils ont dit que Meghan aurait dû s’assurer que l’accent était mis sur sa philanthropie et son activisme.
Et la colère de Meghan Markle a beaucoup effrayé son entourage. «On craignait que Meghan ne licencie son agence de communication, dit encore Tom Bower. Intrigué par la colère du palais de Buckingham, il a appelé le rédacteur en chef du magazine pour lui proférer une dernière menace. « Vous allez devoir traiter avec la reine à ce sujet », lui dit-il. Il imaginait que le monarque furieux prendrait le téléphone et réprimanderait le rédacteur en chef. Évidemment, Elizabeth II n’a jamais décroché son téléphone à ce sujet.
