La prison de Black Beach, tristement célèbre pour ses conditions de détention inhumaines, est une nouvelle fois sous le feu des projecteurs. Baltasar Ebang Engonga, dont le nom a récemment défrayé la chronique après une série de scandales le impliquant avec des personnalités féminines proches du pouvoir équato-guinéen, aurait été victime de violences physiques dans cette prison de Malabo, selon les révélations exclusives de Jeune Afrique.
Selon ces informations, Bello aurait subi de nombreux actes de violence physique suite à son incarcération. Ces abus s’ajouteraient aux conditions de détention déjà critiquées par les organisations de défense des droits humains, qui décrivent Black Beach comme l’un des pires lieux de détention d’Afrique.
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Accusé de “grave manquement à l’éthique” après être apparu dans des vidéos controversées, l’homme, déjà proche du cercle dirigeant, allait bientôt perdre la protection implicite dont il bénéficiait. Ses relations avec des femmes influentes et leur exploitation présumée dans le cadre d’une campagne médiatique à double tranchant semblent avoir précipité sa chute. La prison de Black Beach est régulièrement citée pour ses abus systématiques : privations, tortures et traitements dégradants y seraient monnaie courante. Ancien cadre supérieur ayant fréquenté les sphères du pouvoir, Bello se retrouve désormais exposé à cette brutalité.
Ce traitement viserait également, selon certains observateurs, à faire de lui un exemple dans un contexte où le régime équato-guinéen cherche à renforcer son contrôle et à décourager toute atteinte à son image. Les abus dont il est victime pourraient être une tentative d’intimidation ou de représailles à ses récentes dérives qui ont éclipsé des personnalités de l’entourage présidentiel.
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