Le sommet mondial sur le climat de Bakou a triplé l’engagement climatique pour le porter à 300 milliards de dollars par an d’ici 2035 pour le Sud. Cependant, les méthodes de calcul restent floues.
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CC’est avec plus de 32 heures de retard et dans une certaine confusion que la COP29, le sommet mondial sur le climat, s’est achevée dans la nuit de samedi à dimanche à Bakou. Les 198 pays (plus l’Union européenne) présents dans la capitale de l’Azerbaïdjan ont conclu deux semaines de réunions sur le sujet le plus sensible : le financement international du climat. Ils ont convenu que d’ici 2035, au moins 300 milliards de dollars par an seraient mobilisés pour aider les pays en développement à mener à bien leurs politiques climatiques – en réduisant leurs émissions de gaz à effet de serre, mais surtout à mettre en œuvre des politiques d’adaptation aux impacts du changement climatique (sécheresses, inondations, hausse du niveau de la mer…) alors que 2024 sera une année record en termes de réchauffement.
. Tous les différents acteurs doivent désormais reconstruire la confiance.
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