Ayez l’air énigmatique et piratez l’ordinateur de votre père
8 ans plus tard, le 3ème fils de Donald ne porte heureusement plus cette aura de vilain petit canard. Très grand et calme, Barron est devenu un étudiant assidu quoique peu souriant à la Stern School of Business, l’école de commerce de l’Université de New York. La digital native n’a pas hésité à soutenir la campagne de son père, 78 ans, auprès des jeunes.
Des talents pour les nouvelles technologies dont son père n’est pas peu fier. Et qui a provoqué un tollé lorsque l’ex-président de l’époque a déclaré en conférence de presse que son «jeune fils, Barron sait faire chanter son ordinateur» avant d’illustrer son propos par une anecdote : «Je venais de fermer et de verrouiller le mien. Quand deux minutes plus tard, j’aperçois mon fils devant. Je lui demande ce qu’il fait. Et il me répond : ‘Papa, je sais comment l’ouvrir’« .
Célibataire et… peu expérimenté
Une gaffe qui ridiculise le père dans cette affaire… Sauf que Trump a ajouté pas mal de confidences plutôt embarrassantes ces derniers mois. Comme dans cette interview pour « Page Six », un magazine populaire, au cours de laquelle Trump disait que si Barron était « attirant », il était malheureusement toujours célibataire, sous-entendant aussi son inexpérience : «Je ne suis pas sûr que ce soit encore là. Je ne pense pas qu’il ait jamais eu de petite amie« .
Barron, le fils de Melania et Donald Trump, ne ressemble plus à ça
Ce n’est pas facile de gérer ça, surtout quand on a pour demi-frères des hommes d’affaires de quarante ans (Donald Junior, 46 ans et Eric, 40 ans) et pour demi-sœurs l’omniprésente et « préférée » Ivanka, 42 ans. ans aussi. que Tiffany, considérait autrefois «Trump est oublié» à 31 ans mais de retour en grâce après son mariage et enceinte du 11ème petit-fils du prochain président.
Parlez slovène et laissez-le être dit
Barron semble avoir trouvé la solution : il ne fait pas de vagues, reste discret, se comporte bien, comme l’étudiant.intelligent» qu’il l’est, selon son père. S’il a des traits plutôt Trump, le New-Yorkais semble en revanche doté de la discrétion de son ascendance slovène, qu’incarne parfaitement Melania, qui a su créer et cultiver une image douce qui protège son intimité.
Avec son unique enfant, l’ex-mannequin a toujours eu et entretient une relation complice, presque étroite, comme le racontait Mary Jordan dans une enquête sur Melania Trump publiée en 2022 : «Barron Trump parle slovène, il est très proche de son grand-père. Les deux parents de Melania Trump passent beaucoup de temps à la Maison Blanche, y vivant même dans de très bonnes relations familiales« .
Devenez très petit et devenez très grand
L’enfant de 2016 qui essayait d’être transparent comme ses yeux est devenu impossible à rater avec sa carrure impressionnante. Il reste néanmoins le dernier né, le « petit de » Trump qui insiste sur son «gentillesse», son « côté bon élève», son plaisir d’être seul… Des qualificatifs inhabituels pour un jeune homme destiné à devenir un homme d’affaires aux dents longues et qui rapporte de l’argent comme son père…
Et ce n’est finalement pas pire : mieux vaut être l’outsider dans une famille qui semble sortie de « Amour, Gloire et Beauté » et qui aurait croisé la route du « Joker »…
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