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un décès au Nouveau-Brunswick pourrait avoir des répercussions jusqu’à Trois-Rivières

Le décès de l’ancien conjoint d’Alianka Royer, cette mère retrouvée morte dans sa maison le 10 octobre, pourrait avoir des répercussions jusqu’à Trois-Rivières.

• Lisez également : Mort suspecte: une mère de 26 ans retrouvée sans vie dans une résidence de Trois-Rivières

Alexandre Bouchard est décédé le 1er novembre dans une chambre d’hôtel de Fredericton.

Cela soulève des questions quant à savoir s’il a été impliqué ou non dans le décès de son ancien amoureux, survenu dans une résidence de Trois-Rivières le mois dernier.

Alors que les proches d’Alianka Royer ont dû commencer leur deuil avec plusieurs questions restées sans réponse, près d’un mois après la découverte du corps de la mère de trois enfants, la Sûreté du Québec se limite à dire que l’enquête se poursuit.

Les travaux amorcés par les policiers de Trois-Rivières sur la rue Ledoux sont officiellement entre les mains de la Sureté du Québec depuis le 18 octobre.

La mort de la femme de 26 ans est considérée comme suspecte, mais

pour les enquêteurs, l’hypothèse d’une mort naturelle fait toujours partie des possibilités envisagées.

Cependant, dès que le corps a été découvert, les proches ont cru qu’il s’agissait d’un meurtre.

Le lendemain, un témoin confiait avoir entendu un proche crier « il l’a tué, il l’a tué ! ».

Rapidement sur les réseaux sociaux, l’ancien conjoint d’Alianka Royer, Alexandre Bouchard a été pointé du doigt.

Une chasse aux sorcières avait commencé.

Plusieurs rumeurs circulaient, dont celle selon laquelle il serait un témoin intéressant dans l’enquête de la Sûreté du Québec.

Il est décédé avant que l’issue de l’enquête ne soit connue.

La Force policière de Fredericton confirme qu’un homme identifié comme Alexandre Bouchard a été retrouvé décédé dans une chambre d’hôtel le vendredi 1er novembre.

Le porte-parole de ce corps de police précise que le bureau du coroner provincial est désormais responsable du dossier.

La cause du décès n’a pas encore été déterminée de manière concluante.

Le porte-parole précise toutefois qu’« à l’heure actuelle, nous n’avons aucune raison de soupçonner un quelconque acte de malveillance ».

La Sûreté du Québec qui affirme n’avoir aucune nouvelle information à communiquer dans l’enquête sur le décès d’Alianka Royer.

 
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