Comme nous l’évoquions plus haut, la distinction s’opère très naturellement entre les deux smartphones de par leur format. Il faut dire que comparé aux 6,6 pouces du Galaxy A55, le Pixel 8a « se contente » d’une dalle de 6,1 pouces, presque compacte compte tenu des dimensions les plus courantes aujourd’hui.
Les deux smartphones embarquent une dalle Full HD+ basée sur la technologie Oled et avec un taux de rafraîchissement variable, jusqu’à 120 Hz (sans LTPO). Format plus grand oblige, le Galaxy A55 affiche une résolution légèrement inférieure à son concurrent, soit 390 ppi contre 430 ppi.
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En termes de calibrage, les deux smartphones sont réussis. S’il faut opter pour un mode (naturel) adapté pour en tirer le meilleur parti, tous deux affichent un faible delta E (1,4 pour le Galaxy A55, 1,2 pour le Pixel 8a) et une température de couleur proche des 6500 K de référence (6516). K pour le Galaxy A55, 6795 K pour le Pixel 8a). En revanche, le smartphone de Google s’envole sur la question de la luminosité maximale, puisque nous avons relevé jusqu’à 1507 cd/m² sous nos sondes, loin devant les 1064 cd/m² du terminal Samsung, qui n’avait pourtant pas à rougir. de sa prestation. Mais grâce à cette valeur, et dans la mesure où il est légèrement moins sujet aux réflexions que son concurrent, le mobile de Mountain View remporte ce point de peu.
