un rapport qualité/prix difficile à refuser

un rapport qualité/prix difficile à refuser
un rapport qualité/prix difficile à refuser

Uniquement câblé via un câble USB non détachable, le Corsair K55 Core est compatible Windows, macOS et consoles (un mode PlayStation dédié est également inclus). Il reprend les formes assez marquées mais sobres des autres claviers du constructeur. Cela lui donne une petite sensation premium malgré le tout en plastique utilisé pour offrir un produit peu coûteux. Outre la présence des touches indispensables pour un clavier full-size, on notera celle d’une touche FN pour utiliser quelques rares fonctionnalités secondaires.

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Un coin du K55 Core, avec la signature discrète de Corsair.

© Les Numériques

Combiner cette touche avec l’un des numéros du clavier permet de jouer avec le rétroéclairage (type, vitesse, etc.) lorsque le clavier est en mode matériel (c’est à dire non connecté à un appareil compatible avec le logiciel compagnon iCUE de Corsair). L’absence de sérigraphie secondaire pour indiquer l’action effectuée et l’impossibilité de créer ses propres raccourcis secondaires rendent cette touche FN malheureusement bien moins utile qu’elle aurait pu l’être.

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Le K55 Core vu de côté.

© Les Numériques

Cependant, alors que les produits concurrents dans cette gamme de prix font souvent l’impasse sur les touches multimédia, Corsair a réussi à en glisser une dans le coin supérieur droit de son clavier. Le contrôle du volume est là et un bouton lecture/pause vous permet de jouer avec votre musique. En revanche, pas de touche suivant/précédent (ni de raccourcis avec FN donc). Dommage. Un bouton dédié pour jouer avec le niveau de luminosité du rétroéclairage est inclus dans cette zone, aux côtés d’un bouton pour verrouiller la touche Windows.

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Touches multimédia.

© Les Numériques

Ce choix de proposer des touches multimédia a cependant un prix : il n’y a pas de repose-poignet. Toutefois, Corsair se démarque ailleurs, notamment dans le domaine du rétroéclairage. Un peu à la manière du Roccat Magma par exemple, bien qu’un peu moins marqué, le rétroéclairage donne l’impression que les touches flottent sur un tapis de couleurs. Le résultat flatte la rétine sans oublier d’éclairer efficacement sous la sérigraphie des capuchons pour mélanger l’utile à l’agréable.

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Le rétroéclairage donne un effet de « lévitation » aux touches.

© Les Numériques

D’autant qu’il est presque entièrement personnalisable par logiciel, alors que dans cette gamme de prix, il faut souvent se contenter de presets pour l’ensemble du clavier ou une poignée de zones à personnaliser. Ici les touches sont regroupées en dix zones, offrant une certaine flexibilité.

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Le logo Corsair est bien évidemment là.

© Les Numériques

Quant aux autres bonus peu appréciés, notons également que le K55 Core résiste aux éclaboussures et propose des pieds sur le dos (à un seul niveau) pour régler son angle. Les patins proposés permettent de limiter un peu le glissement du clavier et, plus généralement, la finition solide de Corsair se retrouve dans ce produit entrée de gamme. Reste à voir sur le long terme la durée de vie des plastiques sélectionnés.

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L’arrière du K55 Core.

© Les Numériques

Frappé

Sans surprise moins marquée qu’avec un clavier mécanique, la frappe du K55 Core reste excellente. Son système de membrane est convaincant et permet d’écrire et de jouer en silence tout en évitant de proposer quelque chose de trop mou ou de donner l’impression d’une solution. bon marché. L’ensemble est suffisamment réactif pour les utilisateurs lambda, tandis que les capuchons accueillent correctement les doigts.

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Le K55 Core est un clavier à membrane.

© Les Numériques

Le clavier peut enregistrer un profil de rétroéclairage dans sa mémoire embarquée : pratique pour retrouver sa configuration en déplacement sans avoir à installer et configurer iCUE. Toutefois, cette dernière constitue un véritable argument pour les amateurs de K55 Core et de rétroéclairage.

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Réglage de la clé K55 Core dans iCUE.

© Les Numériques

Certes, beaucoup moins d’options y sont proposées que sur un clavier premium. Mais le logiciel est désormais pratique et simple d’utilisation pour s’amuser avec le rétroéclairage, modifier la fonction des touches ou encore vérifier les performances de votre système.

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Réglage du rétroéclairage K55 Core dans iCUE.

© Les Numériques

Points forts

  • Conception réussie.

  • Frappe confortable pour cette gamme de prix.

  • Prix ​​du contenu.

  • Rétroéclairage convaincant.

Points faibles

  • Pas de suivant/précédent pour les touches multimédia.

  • Tout en plastique, évidemment.

  • Logiquement moins confortable qu’un clavier mécanique.

  • Sous-utilisation de la touche FN.

Conclusion

Marque mondiale

Comment fonctionne la notation ?

Difficile de faire mieux que ce K55 Core dans cette gamme de prix. La proposition de Corsair est très sérieuse et prouve que les membranes ont encore un jeu à jouer face à la mécanique. Le cœur du produit, à savoir sa finition et sa qualité de frappe, est excellent, tandis que le rétroéclairage est beau et pratique. Seuls les amateurs de musique trouveraient à redire aux touches multimédia, alors que nous aurions aimé faire plus de choses avec la touche FN.

Sous-notes
  • Ergonomie
  • Frappé
 
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