Valérie de Graffenried
Bruxelles
Publié le 5 octobre 2024 à 17h48 / Modifié le 5 octobre 2024 à 18h40
Sa mort accidentelle en 1943, à l’âge de 53 ans, au domicile zurichois de l’artiste Max Bill, le bouleverse. Sophie Taeuber-Arp est décédée dans son sommeil d’une intoxication au monoxyde de carbone, provoquée par une cuisinière à gaz qu’elle ne savait probablement pas allumer correctement. Son mari, Jean (Hans) Arp, est accablé par la douleur. Et sa créativité artistique se fera sentir longtemps. Ses œuvres deviennent plus ternes, avant de reprendre peu à peu un peu de vigueur. En hommage à son amour.
Sophie Taeuber-Arp et Jean Arp sont à l’honneur au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles (Bozar). Une occasion unique de (re)découvrir l’un des couples d’artistes les plus importants de l’histoire, figures centrales de l’art abstrait du XXe siècle. La plus grande rétrospective consacrée aux deux artistes depuis plus de trente-cinq ans se déplacera ensuite, dès février, à Hovikodden, près d’Oslo (Norvège), jusqu’en mai 2025.
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