peu de solutions nationales ou mondiales

peu de solutions nationales ou mondiales
peu de solutions nationales ou mondiales

Publié le 24 septembre 2024 à 20h20 / Modifié le 24 septembre 2024 à 21h15

Les petites banques suisses sont inquiètes. Elles craignent de ne plus pouvoir accéder au dollar, faute de pouvoir recourir aux services de banques correspondantes. Comme nous l’expliquions le 23 septembre, de moins en moins de groupes bancaires acceptent de jouer ce rôle de «grossiste en dollars», qui consiste à mettre la monnaie américaine à disposition d’autres banques ou à effectuer des paiements en dollars pour elles. Sur le marché financier, certains souhaiteraient que le Conseil fédéral se saisisse de la question.

Sans dollars, pas d’activité bancaire en Suisse, en somme. La monnaie américaine est indispensable pour les entreprises d’une économie tournée vers l’exportation et pour les clients de la gestion de fortune, dont la grande majorité sont étrangers. Or, les courroies de transmission du dollar – les banques correspondantes – sont moins nombreuses depuis une dizaine d’années. Cela tient notamment à la volonté des grands groupes bancaires de limiter leurs risques.

Vous souhaitez lire nos articles complets ?

Pour CHF 29.- par mois, profitez d’un accès illimité à nos articles, sans engagement !

Je m’abonne

De bonnes raisons de s’abonner au Temps :
  • Accès illimité à tout le contenu disponible sur le site.
  • Accès illimité à tout le contenu disponible sur l’application mobile
  • Forfait de partage de 5 articles par mois
  • Consultation de la version numérique du journal à partir de 22h la veille
  • Accès aux suppléments et à T, le magazine du Temps, au format e-paper
  • Accès à un ensemble d’avantages exclusifs réservés aux abonnés

Déjà abonné ?
Se connecter

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT La nouvelle version de la « super note » de De Wever ne plaît toujours pas au Vooruit, le blocage continue