Aucun drone ou avion de combat n’a été enregistré dans les airs au moment de l’incident.” explosion “ nuit qui a secoué une base militaire du centre de l’Irak abritant des soldats de l’armée et d’anciens paramilitaires pro-iraniens issus des unités de mobilisation populaire (Hachd Al-Shaabi), intégrés aux forces régulières, a rapporté samedi 20 avril une unité de presse des forces de sécurité irakiennes à une déclaration, citant “un rapport du commandement de la défense aérienne” et inspection des radars. Ce ” explosion “ a fait un mort et huit blessés parmi les forces stationnées sur la base de Calso, toujours selon la même Source.
« Les États-Unis n’ont pas mené de frappes aériennes en Irak aujourd’hui »de son côté a réagi le commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) https://twitter.com/CENTCOM/status/1781474064478966238, peu de temps après cette annonce. Interrogée par l’AFP, l’armée israélienne a assuré « ne commentez pas les informations parues dans les médias étrangers ».
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Les Hachd Al-Chaabi, de leur côté, l’ont confirmé dans un communiqué “blessé” et « pertes matérielles ». Ils ont signalé un ” explosion “ ayant touché les locaux de la base et précisé qu’un “enquête préliminaire” avait été ouverte et des enquêteurs dépêchés sur place.
Contexte régional explosif
Cet incident survient dans un contexte régional explosif, alimenté par la guerre à Gaza qui oppose Israël au mouvement islamiste palestinien Hamas, chacun soutenu par des alliés régionaux ou internationaux.
Des frappes, attribuées à Israël, ont visé vendredi matin une zone située à proximité d’une base militaire dans la région d’Ispahan en Iran. Et le 13 avril, Téhéran a mené une attaque inédite combinant drones et missiles contre Israël, présentée comme une réponse à la destruction du consulat iranien à Damas, qui avait coûté la vie à sept de ses soldats, dont deux officiers supérieurs. . , 1euh avril.
Les unités de mobilisation populaire font partie intégrante de l’appareil sécuritaire officiel irakien, placé sous l’autorité du premier ministre. Mais cette institution regroupe plusieurs factions armées pro-Iran, dont certaines ont également mené des attaques, en Irak et en Syrie, contre des soldats américains déployés dans le cadre d’une coalition internationale antijihadiste.