Après l’attaque iranienne, le sud du Liban frémit

Après l’attaque iranienne, le sud du Liban frémit
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Publié le 17 avril 2024 à 19h59 / Modifié le 18 avril 2024 à 07h06.

L’appareil était de fabrication iranienne. Plus moderne et plus efficace que ceux lancés en Israël ce week-end, le drone kamikaze a réussi à contourner le système de défense et à s’abattre sur le nord d’Israël sans déclencher la moindre sirène d’alarme. Au moins 18 Israéliens ont été blessés, des civils selon des sources israéliennes, des militaires au contraire, selon le Hezbollah libanais, qui a revendiqué l’attaque.

Alors que le gouvernement israélien met la touche finale à ce qui semble être une réponse imminente à l’attaque iranienne, le « front nord », comme l’appellent les Israéliens, menace-t-il à son tour de s’enflammer ? Mardi, un dirigeant local du Hezbollah, Ismail Yosef Baz, a été assassiné par un drone israélien. Mais les violences sont quasi quotidiennes depuis octobre dernier. Côté libanais, quelque 320 membres du Hezbollah et d’autres groupes combattants ont été tués, mais aussi près de 70 civils. Du côté israélien, dix soldats et huit civils ont été tués, tandis que quelque 80 000 Israéliens ont déserté la région.

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