“Pas dormi…”, le chanteur prêt à tout pour son fils Léon

Chez les Bruel, le talent se transmet de père en fils. En effet, Léon, dont la mère est Amanda Sthers, a décidé de se lancer dans la chanson comme son célèbre père. Avec un nom de scène surprenant, Hesby, qui fait référence à ses deux parents, le jeune homme va tenter sa chance en anglais. « Aux Etats-Unis, je repars de zéro sans aucun privilège »explained Léon, for Le Parisien, Friday December 13.

« Mon père n’est pas connu ici et c’est une bonne chose, je veux savoir ce que je vaux par moi-même. J’ai aussi choisi mon propre nom. Mon privilège réside dans le fait que j’ai la chance « d’avoir ses conseils et que c’est un artiste que j’admire. La musique est partagée et nous avons souvent joué et chanté ensemble dans mon enfance.

Patrick Bruel révèle son angoisse envers son fils Léon

Ce vendredi 13 décembre il se produit pour la première fois en concert au théâtre Raymond Kabbaz de Beverly Hills. Ses parents étaient évidemment présents :
“Je suis super stressé pour lui” a confié Amanda Sthers, aux côtés de son fils Oscar, et de sa mère Véronique Queffélec.

Patrick Bruel, au fond de la salle, a indiqué :
«Je n’ai pas dormi de la nuit. J’étais en concert hier à Toulouse mais pour rien au monde je n’aurais raté la première scène de Léon ». Pour Patrick Bruel, ce saut dans le vide a été une véritable réussite.

“Je suis très fier de mes enfants”

Mais comme tous les parents, le chanteur était très stressé : “C’est encore un grand inconnu… Mais il s’en donne les moyens, il travaille dans son studio, il prépare ses sons, ses chansons, ses cours de comédie”, he told our colleagues at Télé 7 jours.

« Je suis très fière de mes enfants, ils grandissent dans un monde qui n’a rien à voir avec celui que j’ai connu à mes débuts, donc je n’ai aucun conseil à leur donner. J’ai simplement essayé de leur inculquer la valeur des choses, en tant que père. ».
Et hors de question pour lui de lui laisser cette étiquette de « fils de » : « Il vaut mieux qu’il forme son identité le plus loin possible de nous. S’il a besoin de moi, je suis là. Mais je n’ai pas besoin de parler pour lui ni de le faire exister à travers moi. »