L’intérêt supposé d’un investisseur chinois pour l’usine Audi de Forest laisse de marbre représentants syndicaux et politiques. Ils regrettent unanimement d’avoir été laissés dans l’ignorance par le groupe allemand.
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Journaliste au pôle Planète
Par Benoît JulyPublié le 19/09/2024 à 18h52
Temps de lecture : 3 min
je« Je suis très surpris », déclare Maurizio Sabatino, chef délégué (CSC) chez Audi Brussels, faisant écho aux informations de Jour Il rapporte l’intérêt du groupe chinois Nio pour la reprise de l’usine de Forest. « C’est du vent ? Tout ce que je sais, c’est que l’usine est vouée à la fermeture et que nous allons négocier le plan social (concernant 3 000 salariés, NDLR). Tant qu’il n’y a rien de concret, n’en faisons pas tout un plat : la direction nous laisse dans le flou… »
En ce sens, un investisseur chinois ne serait pas un concurrent mais un partenaire, à l’image de l’accord de joint-venture récemment conclu entre le groupe Stellantis et le chinois Leapmotor, à travers lequel ce dernier produira en Pologne des voitures électriques destinées au marché européen.
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