Fanny Mazalon
21/10/2024 à 17h32
Interviewée dans l’émission “Sept à Huit”, Zaho de Sagazan a évoqué son parcours, sa vie amoureuse mais aussi son passé. Avant d’être diffusée sur toutes les radios pour ses tubes, la jeune femme faisait un tout autre métier…
De nombreuses célébrités de la Musique, du cinéma ou de la mode ont débuté leur carrière dans des domaines radicalement différents avant de connaître le succès. Leïla Bekhti vendait par exemple des vêtements avant d’être repérée par Kim Chapiron. Kendji Girac, quant à lui, a gagné ses premiers salaires comme élagueur. Idem pour Nolwenn Leroy, boulangère avant de se produire à La Défense Arena.
Pour Zaho de Sagazan, l’histoire se répète. En 2023, lorsque l’album « La symphonie des éclairs » paraît sur les ondes, le succès ne se fait pas attendre. Pourtant, avant d’en arriver au point de chanter pour la cérémonie d’ouverture du Festival de Cannes le 14 mai 2024 avec sa célèbre reprise de « Modern Love » de David Bowie, le chemin a été long.
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Invitée ce dimanche 20 octobre sur le plateau de l’émission “Sept à Huit”, Zaho de Sagazan a dévoilé une part encore méconnue de son passé. Durant ses années d’études à Nantes, en filière gestion des affaires et de l’administration, la jeune femme a travaillé pendant un an comme aide-soignante dans un EHPAD. Une expérience qu’elle a décrite comme « l’un des plus beaux métiers du monde car c’est un métier qui représente la bonté à l’état pur. »
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Zaho face au succès
Depuis la sortie de son premier album, la chanteuse de 24 ans roule à vive allure sur l’autoroute du succès. Entre son sacre aux Victoires de la Musique en février dernier, son disque devenu platine en avril dernier et sa prestation pour la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Paris 2024… Zaho de Sagazan est sur une très bonne dynamique.
Un succès qu’elle compare à son passé : « Maintenant que ça marche, je gagne beaucoup d’argent. Je suis applaudi tous les jours, les gens me disent tout le temps merci. C’est un métier où l’on est hyper considéré, voire trop. Alors qu’en fait, quand je regarde une aide-soignante, je me dis : « il n’y a aucune raison pour que je sois plus considérée qu’elle ».
