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Après la frustrante défaite de Toulouse face à Strasbourg, dimanche 12 janvier au Stadium (1-2), l’entraîneur des Violets est revenu sur une décision litigieuse prise par l’arbitre du match. Mais une partie de ses propos a été mal traduite par les journalistes de la chaîne DAZN.
“L’arbitre était nul.” C’est la sentence attribuée à Carles Martinez Novell après la défaite du TFC contre Strasbourg (1-2), dimanche 12 janvier, qui a beaucoup fait parler sur les réseaux sociaux. Notamment après que la chaîne DAZN a isolé l’interview du coach toulousain et l’a publiée sur X (anciennement Twitter).
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Pourtant, l’entraîneur du TFC n’a jamais prononcé ces mots. Cette explosion s’explique en fait par une erreur de traduction de la part d’un des deux journalistes de la chaîne de télévision qui ont réalisé l’interview. Après avoir pris connaissance de cette bourde, le club toulousain a contacté le diffuseur pour lui signaler son erreur. Ce dernier s’est rapidement excusé et a simultanément supprimé la séquence de ses réseaux sociaux.
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Mais le mal était fait et de nombreux médias, dont La Dépêche du Midi, saisi de la citation erronée de Martinez Novell. Après avoir revu l’interview d’après-match, voici la teneur des échanges entre le coach des Violets et les deux journalistes de DAZN. Après une première question sur le résultat, le journaliste demande à nouveau à l’Espagnol : « Vous n’êtes donc pas d’accord avec les décisions [arbitrales] qui ont été prises aujourd’hui ? A ses côtés, Carles Martinez Novell secoue la tête avant de répondre. “Zéro!” » dit-il comme pour dire « Pas du tout ». Ce que l’autre journaliste de la chaîne traduira par « C’était zéro ».
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Derrière, l’entraîneur du TFC argumente sa réponse : « L’arbitre me dit qu’à cause de Mark, le gardien ne voit pas le ballon. Mais ce n’est pas le cas. Quand vous regardez l’action, vous pouvez voir que le gardien peut voir le ballon et que notre joueur ne le dérange pas. Mais bref, je ne veux pas m’étendre sur le sujet.»
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Si l’argumentation de l’homme fort des Violettes a le mérite d’être claire et défendable, c’est le début de sa réponse qui a eu le plus de résonance.
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