Miller n’arrête pas de se cogner la tête contre le mur avec la KTM

Miller n’arrête pas de se cogner la tête contre le mur avec la KTM
Miller n’arrête pas de se cogner la tête contre le mur avec la KTM

Le pneu arrière introduit par Michelin cette année générait des vibrations sur les motos. Si Ducati a rapidement trouvé une solution, qui lui permet de dominer nettement le championnat depuis le printemps, les problèmes persistent chez Aprilia comme chez KTM.

Au sein du constructeur autrichien, les pilotes ont décrit ces vibrations depuis le début de la saison européenne jusqu’à sa conclusion. Les problèmes sont toujours là dans les courses outre-mer : à Motegi, parcours favorable au RC16 qui Pedro Acosta placé en pole, Jack Miller se heurtait encore à d’importantes limites.

“J’ai eu du mal avec les bavardages, les vibrations”a expliqué l’Australien après les deux premières séances d’essais, décrivant ses difficultés dans les virages : «Quand j’essayais de garder la vitesse au [virage] 3, dès que j’ai atteint la corde, le vélo a dit « plus rien ». C’est quelque chose qui arrive tout le temps ces jours-ci. J’essaie de trouver un putain de moyen de contourner ce problème, mais je ne trouve pas de solution.

Miller a essayé d’adapter son pilotage mais il n’y est pas parvenu sans sacrifier les performances : « J’essayais juste de garder un peu plus de vitesse, donc j’essayais de ne pas accélérer trop fort en sortant large, et je n’étais pas très rapide. Cela me rend triste car les mêmes problèmes persistent et je ne peux pas les résoudre. Quand vous continuez à vous cogner la tête contre le mur, vous cherchez une solution.»

Ces vibrations ont été visibles à plusieurs reprises lors des qualifications et un ralenti diffusé par MotoGP illustrait parfaitement les difficultés de Miller, presque heureux d’avoir de telles images à montrer aux ingénieurs KTM pour qu’ils comprennent l’étendue de ses difficultés. .

« Cela fait dix mois que c’est ma vie, on n’a pas réussi à corriger ça. C’est très bien de voir au ralenti car à vitesse normale, on ne le remarque pas. Le bras oscillant est très sollicité. C C’est très bien de le voir clairement au ralenti pour les ingénieurs. Je n’invente pas ces conneries, ça fait dix mois que ça dure, qu’on a ce pneu, et je n’ai pas trouvé de solution, comme toi. ‘ai vu.’

« La solution est d’essayer de gérer ce problème, mais c’est comme continuer à se cogner la tête contre un mur. […] Nous avons encore apporté un changement radical dans l’équilibre de la moto. [samedi] et ça a l’air de la calmer un peu mais c’était quand même là dans le dernier secteur, dans le double gauche.

Et après une course terminée en dixième position, Miller se félicitait de ne pas avoir rencontré les mêmes difficultés que Brad Binder, qui avait subi de grosses glissades de l’avant, mais déplorait que ses problèmes ne soient toujours pas résolus : « Nous avons un peu de mal avec la vitesse en milieu de courbe et en sortie de virage. L’avant est stable et ça s’est bien passé toute la course mais nous avons encore du travail à faire.

 
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