Affirmant qu’elle maintient son intransigeance au sujet « des valeurs libérales et progressistes qui sous-tendent notre mouvement politique », elle dit croire à l’erreur et « à la possibilité de détourner les gens, notamment les plus jeunes, des tendances extrémistes, populistes, haineuses ». , etc.” Mais selon elle, Noa Pozzi n’était pas un simple militant au sein du parti d’extrême droite, il était tête de liste, ce qui “implique d’être extrêmement prudent avant d’éventuellement l’accepter”, a-t-elle précisé. -elle a notamment soutenu via Facebook.
Interrogée dimanche soir lors de l’émission “Face à Buxant”, Sophie Wilmès s’est exprimée dans le même sens.
« Je peux comprendre que dans un parcours de vie on puisse changer d’avis et c’est tant mieux. Cela voudra dire que cette personne correspond pleinement à nos valeurs… Concernant un cas aussi délicat et particulier, je pense que « nous aurions dû consulter en interne pour voir ce qu’il y avait de mieux à faire », a-t-elle souligné.
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