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A Razès en Haute-Vienne, coup dur pour le futur refuge Erina en quête de nouveaux financements

A l’intérieur du refuge Erina à Razès en Haute-Vienne, les travaux avancent très bien. Tout a été refait du sol au plafond et les équipements pour accueillir les hérissons, chauves-souris et autres mammifères sauvages en détresse commencent à arriver. Mais dehors, les choses se compliquent suite au début de l’affaissement des terres. “Avec les pluies (à partir de fin octobre)Malheureusement, nous avons eu un glissement de terrain dans notre espace extérieur et nous avons dû construire d’autres enclos pour les animaux. La conséquence est que le chantier extérieur est au point mort et que nous serons en retard de plusieurs mois par rapport à l’ouverture souhaitée du centre de soins qui était prévue pour la fin de l’année. Nous ouvrirons probablement au début de l’année prochaine. explique Sarah Lou Logé, la présidente de l’association Erina.

« Avec cet imprévu, il va falloir chercher des financements »

Avant cela, il va falloir consolider les terrasses à l’arrière du refugel’association doit faire appel à des professionnels pour estimer la faisabilité et le coût des travaux. Sachant que plusieurs options existent :soit construire un mur de soutènement, soit un mur de gabions » Sarah anticipe. Le problème, c’est que ce travail aura un coût, Ce projet est né grâce à la solidarité de tous, entreprises, fondations, particuliers ayant déjà fait des dons. Avec cet imprévu, il va falloir chercher des financements, donc ça va aussi prendre du temps.

Le temps presse car l’hiver va bientôt arriver

Idéalement, l’association Erina espère lancer ces travaux dans les prochaines semaines pour avancer le plus possible avant l’arrivée de l’hiver et accueillir au plus vite les mammifères sauvages en détresse trouvés en Haute-Vienne, Corrèze et Creuse. et en Dordogne. Ceux qui veulent aider financièrement peuvent faire un don à l’association Erina sur le site Hello Asso. En attendant l’ouverture, Sarah Lou Logé continuera de travailler avec tous les bénévoles pour mener à bien le projet, tout en assurant des allers-retours réguliers vers l’Auvergne, où ces animaux sauvages sont actuellement collectés et soignés, faute de structure en Limousin.

 
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