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Décryptage Cherbourg, Granville et Saint-Lô se portent bien. A l’image du littoral du Cotentin. Ailleurs, à l’intérieur des terres, les transactions sont difficiles, malgré des prix bas.
Pour aller plus loin
Campée à l’extrême nord de la presqu’île du Cotentin, la commune de Cherbourg fait preuve d’une grande vitalité. Sa position de port de pêche et de plaisance, doté du plus grand port artificiel d’Europe, et son activité nucléaire tant en termes de traitement des déchets que de démarrage de l’EPR de Flamanville et de tous les emplois inhérents influencent la demande de logements. « Notre dynamisme en matière d’emploi a un impact sur la demande de logements. Nous avons donc continué à vendre des maisons et des appartements depuis le début de l’année. L’euphorie des prix post-Covid est terminée, les prix se stabilisent parfois à la baisse lors de travaux ou de mauvaises localisations », explains Pierre Villedieu, of the Régine Villedieu Immobilier agency.
Au centre de la sous-préfecture de la Manche, les prix les plus courants oscillent entre 2 300 et 3 200 €/m². Du côté d’Octeville, les prix sont inférieurs à 2 000 €/m². Mais sur le front de mer, les prix augmentent. « Pour les biens de caractère et très bien situés, les valeurs oscillent entre 3 500 € et 5 000 €/m². Au-delà, les ventes s’avèrent plus compliquées. » confie Jean Gatellier, directeur régional Normandie chez Patrice Bé…
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